New World cutaneous leishmaniasis (CL) is endemic in many countries of Latin America, including French Guiana 1. While pentamidine is the first‐line treatment against Leishmania guyanensis in this ...territory 2, pentavalent antimonials such as meglumine antimoniate (MA) are recommended in case of L. braziliensis or pentamidine‐resistant strains of other species 2. Liposomal amphotericin B (L‐AmB) (Ambisome ®) is widely used against fungi and visceral leishmaniasis 3. However, data concerning its efficacy in New World CL are scarce and contradictory 4‐7. Due to a shortage in MA, the Cayenne Hospital started using L‐AmB as an alternative in 2015. We conducted a retrospective study to compare efficacy and safety of L‐AmB and MA in patients treated for CL.
Full text
Available for:
BFBNIB, FZAB, GIS, IJS, KILJ, NLZOH, NUK, OILJ, SAZU, SBCE, SBMB, UL, UM, UPUK
Pseudoaneurysm following a freshwater stingray injury Blaizot, R.; Desrousseaux, G.; Joly, M.‐P. ...
Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology,
October 2019, 2019-10-00, Volume:
33, Issue:
10
Journal Article
Peer reviewed
Full text
Available for:
BFBNIB, FZAB, GIS, IJS, KILJ, NLZOH, NUK, OILJ, SAZU, SBCE, SBMB, UL, UM, UPUK
The outcome of American tegumentary leishmaniasis (ATL) may depend on the presence of the Leishmania RNA virus (LRV). This virus may be involved in treatment failure. We aimed to determine whether ...genetic clusters of LRV1 are involved in this therapeutic outcome.
The presence of LRV1 was assessed in 129 Leishmania guyanensis isolates from patients treated with pentamidine in French Guiana. Among the 115 (89%) isolates found to carry LRV1, 96 were successfully genotyped. Patient clinical data were linked to the LRV data.
The rate of treatment failure for LRV1-positive isolates was 37% (15/41) versus 40% (2/5) among LRV1-negative isolates (p 0.88). Concerning LRV1 genotypes, two predominant LRV1 groups emerged, groups A (23% (22/96)) and B (70% (67/96)). The treatment failure rate was 37% (3/8) for group A and 45% (9/20) for group B (p 0.31).
Neither the presence nor genotype of LRV1 in patients with L. guyanensis seemed to correlate with pentamidine treatment failure.
Full text
Available for:
GEOZS, IJS, IMTLJ, KILJ, KISLJ, NLZOH, NUK, OILJ, PNG, SAZU, SBCE, SBJE, UILJ, UL, UM, UPCLJ, UPUK, ZAGLJ, ZRSKP
Le syndrome alphagal (SAG) est une réaction allergique IgE médiée au galactose-α-1,3-galactose (α-Gal), un disaccharide présent chez les mammifères non-primates. Les patients atteints du SAG ont des ...symptômes anaphylactiques lors de la consommation de viande de mammifères ou de médicaments contenant de l’α-Gal. Ses symptômes sont retardés : 2 à 6heures après le repas incriminé, compliquant le diagnostic. Le SAG se développe généralement à l’âge adulte, des années après une consommation de viande sans symptômes. Les travaux récents suggèrent un lien entre les morsures de tique et la sensibilisation à l’α-Gal.
Identifier les facteurs de risque de SAG en Guyane.
Une étude cas-témoins a été réalisée en Guyane. Les patients majeurs suivis en allergologie au Centre Hospitalier de Cayenne pour une allergie IgE médiée entre janvier 2021 et octobre 2022 ont été inclus. Les cas avaient un diagnostic de SAG confirmé : symptômes d’anaphylaxie suite à l’ingestion de viande de mammifère ou de médicament contenant l’α-Gal, et IgE spécifiques anti-Gal (>0,1kUA/mL). Les données étaient récoltées via un questionnaire standardisé et les IgE spécifiques anti-Gal mesurées par tests immunoCAP. La tryptase sérique et les prick-tests étaient rapportés lorsqu’ils étaient réalisés.
Parmi 81 sujets évalués, 18 cas et 36 témoins ont été inclus. Tous les cas étaient mordus par une tique au moins une fois en Guyane, contre 8 (22 %) des témoins (OR=124,1 IC 95 % : 14,3–16 414,9, p<0,001). Aucun cas n’était du groupe B ou AB, contre 6 (17 %) témoins (OR=0,1 IC 95 % : 0,0–1,4, p=0,07). Un emploi en extérieur était prédictif de SAG (OR=14,1 IC 95 % : 3,9–59,3, p<0,001) contrairement à l’atopie (OR=0,7 IC 95 % : 0,2–2,4, p=0,59).
Il était admis que la Guyane était exempte de maladie liée aux tiques. Nos résultats montrent que notre territoire n’en est pas épargné, et confirment que les morsures de tiques sont un facteur de risque majeur de SAG en Guyane. Le risque de SAG était lié au travail en extérieur (forestiers, naturalistes, militaires), et questionnerait le classement du SAG en maladie professionnelle pour ces métiers – au même titre que la maladie de Lyme.
Full text
Available for:
GEOZS, IJS, IMTLJ, KILJ, KISLJ, NLZOH, NUK, OILJ, PNG, SAZU, SBCE, SBJE, UILJ, UL, UM, UPCLJ, UPUK, ZAGLJ, ZRSKP