We investigate the hypothesis that the propensity of a stepfamily couple to have a shared child is inversely related to the responsibility for rearing pre-union children. We compare effects of coresident pre-union children to those of nonresident, and effects of the woman's children to those of the man's. Shared children and stepchildren reduce the risk of a birth to a couple, and the reduction is larger for each shared child than for a stepchild. We find larger effects of coresident pre-union children than of nonresident children, and larger effects of a woman's pre-union children than of a man's. The differences are more pronounced in Austria where public support for childrearing and gender equality is lower than in Finland. Our study demonstrates that in addition to the number of pre-union children, coresidence and parentage of pre-union children also need to be considered in future fertility research. /// Cet article explore l'hypothèse, pour un couple en seconde union, de l'existence d'une relation inverse entre la probabilité d'avoir un enfant en commun et la charge d'enfants issus des unions précédentes. L'influence de cette charge est étudiée selon que ces enfants résident avec le couple ou non et selon qu'il s'agit des enfants de l'homme ou de la femme. Les effets sont plus grands si les enfants des unions antérieures sont au foyer du couple et s'il s'agit des enfants de la femme. Les différences sont plus accentuées en Autriche où l'aide familiale et l'égalité entre les sexes sont moins fortes qu'en Finlande. Notre étude montre qu'au-delà du nombre d'enfants nés d'unions antérieures, le lieu de résidence et la prise en charge de ces enfants doivent être pris en compte dans les recherches à mener sur la fécondité des familles recomposées.