Our study aimed to determine the effect on barley (Hordeum vulgare L.) of adding potassium polyacrylate to a sandy soil under normal watering condition and drought. We focused on morphological and ...physiological characteristics of barley and its rhizosphere bacterial community structure using Illumina Miseq sequencing. It was found that under normal watering condition (70% of soil water holding capacity (WHC)), the soil water retention increased with the SAP addition to the soil. Barley plant height and weight, leaf relative water content and protein content decreased under drought (35% of soil WHC), the addition of SAP eliminated the negative effect of drought on plants, the proline content was reduced from 2.71 μg g
−1
leave dry weight with stressed plants to 0.99 μg g
−1
with only 0.2% of SAP. The barley rhizophere bacterial community was affected by drought. Changes in relative abundance were noticed at both phyla and OTU level. The SAP addition (0.8%) shifted the barley rhizophere bacterial community to become in part more similar to that of the normal watering condition. Also, we found that the SAP addition had a side effect itself on the barley rhizosphere bacterial community other than its capacity of water holding.
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La presente etude porte sur la nature des rhizobia associes aux legumineuses du genre Hippocrepis qui compte une dizaine d'especes en Algerie et pour laquelle tres peu de travaux ont ete jusqu'ici ...consacres. Les resultats de nos investigations qui ont portes sur 26 plants representant 8 especes de ce genre et provenant de 17 localites du nord et du sud du pays revelent que tous les plants etaient nodules et fixateurs d'azote, ce qui indique que les 8 especes identifiees sont capables d'etablir une symbiose efficiente avec les rhizobia presents dans les sols qui les supportent. Le sequencage du gene del'ARN 16S des 26 souches de rhizobia isolees et authentifiees par des tests de nodulation au laboratoire permet de les assigner a 16 especes de rhizobia reparties sur 5 genres: Ensifer, Mesorhizobium, Bradyrhizobium, Rhizobium et Neorhizobium avec une predominance des representants des genres Ensifer et Mesorhizobium. Les resultats de cette etude qui est la premiere dediee specifiquement au genre Hippocrepis indiquent que la symbiose a rhizobia et la capacite d'utiliser, par ce biais, l'azote atmospherique sont communes chez les representants de ce genre en Algerie, ils revelent aussi la grande diversite des rhizobia qui sont associes a ce genre. Mots-cles : diversite, rhizobia, Hippocrepis, Algerie, symbiose, nodulation. The present study focuses on the nature of the rhizobia associated with legumes of the genus Hippocrepis, which totals about 10 species in Algeria and for which very little work has been performed so far. The results of our investigations, which focused on 26 plants representing 8 species of this genus and coming from 17 localities in the north and south of the country, show that all plants were nodulated and nitrogen-fixing, which indicates that the species identified can establish an efficient symbiosis with the rhizobia present in the soils that support them. The sequencing of the 16S RNA gene of the 26 strains of rhizobia isolated and authenticated by nodulation tests in the laboratory allows their assignation to 16 species of rhizobia spread over 5 genera: Ensifer, Mesorhizobium, Bradyrhizobium, Rhizobium, and Neorhizobium with a predominance of representatives of the genera Ensifer and Mesorhizobium. The results of this study, which is the first dedicated to the genus Hippocrepis, show that the rhizobial symbiosis and its ability to use atmospheric nitrogen are common among representatives of the genus Hippocrepis in Algeria and reveal a great diversity of associated rhizobia. Journal Translation Keywords: diversity, rhizobia, Hippocrepis, Algeria, symbiosis, nodulation.
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La présente étude porte sur la nature des rhizobia associés aux légumineuses du genre Hippocrepis qui compte une dizaine d’espèces en Algérie et pour laquelle très peu de travaux ont été jusqu’ici ...consacrés. Les résultats de nos investigations qui ont portés sur 26 plants représentant 8 espèces de ce genre et provenant de 17 localités du nord et du sud du pays révèlent que tous les plants étaient nodulés et fixateurs d’azote, ce qui indique que les 8 espèces identifiées sont capables d’établir une symbiose efficiente avec les rhizobia présents dans les sols qui les supportent. Le séquençage du gène de l’ARN 16S des 26 souches de rhizobia isolées et authentifiées par des tests de nodulation au laboratoire permet de les assigner à 16 espèces de rhizobia réparties sur 5 genres: Ensifer, Mesorhizobium, Bradyrhizobium, Rhizobium et Neorhizobium avec une prédominance des représentants des genres Ensifer et Mesorhizobium. Les résultats de cette étude qui est la première dédiée spécifiquement au genre Hippocrepis indiquent que la symbiose à rhizobia et la capacité d’utiliser, par ce biais, l’azote atmosphérique sont communes chez les représentants de ce genre en Algérie, ils révèlent aussi la grande diversité des rhizobia qui sont associés à ce genre.
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Malgré l’importance des représentants du genre Lotus en Algérie, leur statut symbiotique et la nature des rhizobia qui leurs sont associés sont méconnus. Cette étude portant sur 39 plants de Lotus ...appartenant à 15 espèces nous a permis de vérifier qu’ils sont tous nodulés et fixateurs d’azote et d’isoler à partir de leurs nodules 38 souches de bactéries nodulant les légumineuses qui ont été authentifiées. Le séquençage du gène de l’ARNr 16 S de ces 38 souches de rhizobia montre une prédominance de souches du genre Mesorhizobium représenté par 10 espèces parmi lesquelles M. erdmanii, M. ciceri et M. jarvisii se sont montrées les plus importantes. La nodulation des espèces de Lotus examinées est assurée dans une moindre mesure par des souches des genres Bradyrhizobium et Ensifer, tous deux représentés par deux espèces. Cette étude a permis, d’une part, de révéler la diversité des rhizobia associés aux Lotus d’Algérie, et d’autre part, de mettre en évidence une faible implication dans la nodulation des souches du genre Bradyrhizobium et l’absence de celles de l’espèce Mesorhizobium loti, deux groupes de rhizobia considérés comme les microsymbiotes les plus communs chez les représentants du genre Lotus.
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