The origin of Australopithecus, the genus widely interpreted as ancestral to Homo, is a central problem in human evolutionary studies. Australopithecus species differ markedly from extant African ...apes and candidate ancestral hominids such as Ardipithecus, Orrorin and Sahelanthropus. The earliest described Australopithecus species is Au. anamensis, the probable chronospecies ancestor of Au. afarensis. Here we describe newly discovered fossils from the Middle Awash study area that extend the known Au. anamensis range into northeastern Ethiopia. The new fossils are from chronometrically controlled stratigraphic sequences and date to about 4.1-4.2 million years ago. They include diagnostic craniodental remains, the largest hominid canine yet recovered, and the earliest Australopithecus femur. These new fossils are sampled from a woodland context. Temporal and anatomical intermediacy between Ar. ramidus and Au. afarensis suggest a relatively rapid shift from Ardipithecus to Australopithecus in this region of Africa, involving either replacement or accelerated phyletic evolution.
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85.
La réintroduction des orangs-outans Louchart, Frédéric
Anthropologie et sociétés,
2017, 2017-00-00, 20170101, Letnik:
41, Številka:
2
Journal Article
Recenzirano
Cette note de recherche porte sur la réintroduction des orangs-outans à Bornéo. Il montre que la reconstitution de l’animalité par le travail humain donne corps aux savoirs éthologiques, mais aussi à ...une représentation de l’animalité qui intensifie certains traits. L’ensemble s’inscrit dans un collectif hybride structuré par la relation d’apprivoisement de l’orang-outan, malgré l’ambition de libérer celui-ci. Le choix de l’espèce, les caractéristiques développées et la protection constituent une emprise inédite sur des êtres alors non domestiqués qui renvoie au concept d’anthropocène. Les bénévoles de cette ONG ont-ils toutefois d’autres choix face à la disparition de la forêt primaire ?
Les adipocytes : lieux de stockage énergétique Chez les mammifères, le sucre et les lipides sont stockés dans les cellules en tant que réserves énergétiques pouvant être utilisées lors des périodes ...de jeûne. Le sucre est stocké sous forme de glycogène dans le cytoplasme, et les lipides sont stockés sous forme de triglycérides, dans des gouttelettes lipidiques. Alors que les cellules du foie et du muscle squelettique contiennent ces deux types de stockage énergétique, d'autres cellules, comme les adipocytes, sont spécialisées dans un seul type de stockage : celui des lipides. Il existe deux types d'adipocytes : les adipocytes blancs, qui contiennent une seule gouttelette lipidique, et les adipocytes bruns, qui contiennent de nombreuses gouttelettes lipidiques 1. La localisation et le métabolisme de ces deux types cellulaires est différent. Les adipocytes blancs sont considérés comme des lieux de stockage à part entière, alors que les adipocytes bruns utilisent les stocks de lipides pour produire de la chaleur. La thermogenèse du tissu adipeux brun est notamment mise en place suite à une exposition au froid. Au niveau cellulaire, il existe un découplage de la chaîne respiratoire mitochondriale par la protéine Ucp1
In tropical humid environments under intensive banana production, pesticide transfer in waters can be of particular concern due to heavy rainfall, steep slopes, and soils with high infiltration ...capacities. The transfer in percolation and runoff waters of the nematicide cadusafos was investigated during a three month field experiment. The spatial heterogeneity of the banana plantation was taken into account by measuring percolation fluxes both under the banana plants and in the interrows with a specially designed lysimeter device installed at 60 cm depth. At the field scale, 0.34% of the pesticide applied was transferred in percolation, 0.13% in runoff. Forty-nine percent of cadusafos losses occurred by percolation under the banana plants, 23% by interrow percolation, and 28% by runoff. Losses were highest during the three weeks following cadusafos application, and this is also when dissipation in the soil was highest (calculated half-life in the soil: 7d). After this period, losses of cadusafos were low, both in soil and waters. Under the banana plant, saturated fluxes carried most of the pesticide, despite total percolation fluxes being at least five-times higher than saturated ones. Although overall pesticide transfer in water was low (0.5% of applied), it was not negligible due to the frequency of pesticide application in these areas.