Le traité sur Fran Zwitter en tant que directeur de l’Institut scientifique auprès de la présidence du Conseil de libération nationale Slovène fut écrit en hommage à sa mémoire lors de sa mort en ...avril 1988. Après avoir été, pendant l’occüpation italienne, emprisonné deux fois à Ljubljana et après avoir été confiné pendant en an et demi en Italie du Nord, il joignit au début d’octobre 1943 les partisans Slovènes dans la région de Kočevje. Comme il a fait déjà en 1941 partie de la commission du Front de libération nationale pour les problèmes de frontières à Ljubljana, il désirait au maquis continuer son travail sur les questions des frontières Slovènes ainsi que cells yougoslaves dans le futur. Lorsque le 12 janvier 1944, le Conseil exécutif du Front de libération fonda l’Institut scientifique, et à l’arrivée de l’inteli-gentsia Slovène (hommes de lettres, scientifiques) au maquis, le professeur Zwitter fut nommé directeur de cet Institut et il remplissait cette tâche jusqu’à la fin de l’existence de l’Institut, le 7 février 1948. Monsieur Zwitter dirigeait l’Institut, il en était responsable, il présidait aux séances du collegium, il était à la tête de la section des frontières, initiateur des études sur des sujets différents e réalisateur de la plus grande partie de travail de recherches. La plus grande partie de ces travaux écrits furent consacrés aux frontières de l’Ouest et du Nord de la Yugoslavie dans le futur, dont deux: »Problemi bodočih slovenskih meja« (Le problème des frontières Slovènes au futur) en février 1944 et le deuxième, »Meje Jugoslavije. A. Meje slovenskega ozemlja« (Les frontières de la Yougoslavie. A. Les frontières du territoire Slovène) en octobre 1944. Les deux expertises furent étudiées aux séances avec les représentants de la direction du mouvement de la libération nationale de la Slovénie le 20 mars et le 9 septembre 1944. Entre autres, on trouve parmi les expertises à caractère exclusivement d’information, des études sur les Slovènes vivant dans la Marque Julienne, sur les minorités ethniques Slovènes de la Carinthie et de l’Italie. Monsieur Zwitter s’engagea beaucoup à la protection des archives, des bibliothèques et des monuments de culture et à entreprendre les mesures nécessaires pour leur protection qui avaient été e élaborées par les les spécialistes de l’Institut. En tant que membre de la commisssion d’études auprès de la présidence du Conseil de la libération nationale Slovène, il assistait à la plupart de ses séances, exposant parfois ses poitns.
The review of: Alfred Elste, Michael Koschat, Paul Strohmaier, Opfer, Tater, Denunzianten. "Partisanenjustiz" am Beispiel der Verschlcppungen in Karnten und der Steiermark im Mai/Juni 1945: Recht ...oder Rache? Mohorjeva/Hermagoras. Klagenfurt/Celovec – Ljubljana/Laibach - Wien/Dunaj 2007, 488 strani, ilustrirano
L'exploitation des houillères dams le système social féodal enregistrait certes une hausse contante, mais la véritable opportunité ne commença qu’àprès le milieu du siècle passé, au moment où ...s'introduisait le libéralisme économique. Alors l'Etat vendit toutes ses mines aux particuliers, et de nombreuses sociétés minières furent fondées. Aucune d’elles n'avait de supériorité appréciable car toutes manquaient de capitaux à investir. A la fin de 1872 fut créée la »Trifailer Kohlenwerks-Gesellschaft« (Les Charbonnages de Trifail) qui bientôt absorba quelques autres importantes sociétés analogues et prit en peu de temps une position dominante. Elle possédait tout d’abord les houillères du triangle Zagorje—Zidani most—Laško—Zagorje et acquit en toute propriété les bassins de Kočevje, Labin, etc. En raison de ses amprunts internationaux, la société viennoise primitive passa en peu de temps aux maires du capital français, suisse et autre. Tout le temps de leur durée, les Charbonnages de Trifail (Trifail = Trbovlje) fournissaient les 75 à 85 % de la houille et employaient à peu près le mène pourcentage de mineurs. Le pourcentage complémentaire, 25 à 15 % en production et en main d’oeuvre était réparti entre toutes les autres houillères sur le territoire Slovène.
En s’appuyant sur les maigres sources des archives, de la presse et d’autres écrits, l’auteur a essayé de décrire la vie des travailleurs macédoniens qui, après la révolte de l’Ilenden de 1903, ...bientôt étouffée, s’unirènt comme manoeuvres dans les travaux de construction de la voie ferréee Bohinj—Karavaniken en 1904—1905.
Dans l’introduction de l’exposé, l’auteur a décrit en détail l’écho de l’étude dans nos écrits scientifiques de l’oppression de la culture Slovène comme un des plus puissants facteurs de la politique ...de dénationalisation pratiquée par les occupants en Slovénie. L’exposé luLmême s’étend sur les constatations générales touchant les mouvements de tactique des occupants, et fait le tableau des conditions auxquelles leurs décisions ont conduit le peuple Slovène sous l’angle de sa culture. Ce passage révèle beaucoup plus que la différence essentielle entre leurs vues sur cette question. En même temps s’intercalent dans l'exposé des données et des descriptions qui fournissent un tableau plus complet du destin de certains points du patrimoine culturel Slovène.
Recenzija: Tragedija v Cerknem pozimi 1944 Deželak Barič, Vida
Prispevki za novejšo zgodovino (before 1960: Prispevki za zgodovino delavskega gibanja),
2001, Letnik:
41, Številka:
1
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The review of: Boris Mlakar: Tragedija v Cerknem pozimi 1944. Goriška Mohorjeva družba (Naše korenine, 11), Gorica 2000, 161 strani, ilustr.
L'histoire littéraire Slovène n’ a pas encore étudié en détail la participation des marxistes à la critique littéraire comme aux théories littéraires de l’époque entre les deux guerres. Cependant, ce ...qu’ on a, d’une manière générale, déjà constaté, c'est que les jugements des marxistes sur les questions littéraires et esthétiques durant la première décade après la première guerre étaient, la plupart du temps, d’occasion. Il faut cependant faire exception pour Vladimir Martelanc et Bratko Kreft dont les vues ont été systématiques et se sont aussi appuyées sur les idées des classiques du marxisme. Dans les années 30, le nombre des intellectuels marxistes a augmenté, et cette nouvelle vague apparaît dans l’étendue et la force théorique de la publicité littéraire. A la fin de 1932, les marxistes Slovènes fondèrent la revue »Književnost« (Littérature) où s’affirmèrent surtout dans la critique littéraire Dušan Kermavner, Bratko Kreft, Ivo Brnčič, Boris Kidrič, Edvard Kardelj, Boris Ziherl. Lorsque en 1935 cette revue cessa de paraître, ces critiques, surtout Ivo Brnčič et Tomo Martelanc continuèrent pendant quelques années encore à écrire des critiques et des essais littéraires.
L’auteur expose le cours de la compilation de la bibliographie des années de »Ljudska Pravica«, organe du Parti communiste de Slovénie avant la guerre, c’est-à-dire de 1933 à 1936 et de 1939 jusqu’à ...l’occupation de 1941.
L’exposé donne en larges touches générales le développement du mouvement étudiant Slovène, depuis la création de l’Université de Ljubljana en 1919 jusqu’à l’occupation de la Yougoslavie en 1941. A ...cause de la place restreinte dont il disposait, l’auteur n’ a pris en considération que les processus idéologiques-politiques des diverses orgànisations et de groupes en particulier, et il a dû laisser de côté de nombreuses actions étudiantes comme manifestations, démonstrations etc. Le point de départ du développement du mouvement étudiant Slovène entre les deux guerres était la structure d'organisation idéologique-politique telle qu' elle s’était formée parmi les étudiants bientôt après la création de l’Université de Ljubljana. Cette structure succédait dans son essence au développement d’idées atteint jusqu' alors par les intellectuels Slovènes qui passaient les années de leurs études à l’étranger. Dès le début, lès étudiants Slovènes se groupèrent selon les courants politiques bourgeois d’alors: l’association »Danica« représentait les ca-choliques et »Jadran« les libéraux. Plus tard, il y eut encore d’autres groupements étudiants. Une nouveauté parmi les étudiants Slovènes, fut en mars 1920 la Société des étudiants communistes. Dès la création de l’Université de Ljubljana, pourrait-on dire, les étudiants ayant une activité politique étaient répartis selon lés idées qui répondaient aux circonstances politiques du moment en Slovénie.
Le nom de l’organisation clandestine »Révolutionnaires Slovènes nationaux« apparaît dans les documents des archives du Komintern dès 1932, et le programme de cette organisation fut établi en ...Yougoslavie l’année suivante. Elle devait agir sur une ligne autonome mais cependant parallèle à celle du Parti communiste de Yougoslavie. Lorsque le Comité régional du Parti communiste de Yougoslavie reconnut que l’activité de cette organisation n'est pas positive puisqu’elle ne repose nullement sur les aspirations des masses ouvrières et paysannes, il ne manifesta pour elle aucun enthousiasme et l’abandonna. Il ne faut pas confondre cette organisation autonome clandestine avec le mouvement TIGR (Trieste—Istrie—Gorica—Rijeka) qui prit naissance en 1928 dans le Littoral Slovène et l’Istrie, alors régions italiennes et qui, en 1936, prit le nom de Movimento revoluzionario nazionale sloveno-croato (Mouvement révolutionaire national slovéno-croate). C’était là une organisation autonome qui n’avait aucun rapport avec la première.