Aby Warburg ve Sinema İlişkisi Üzerine Bir Deneme Behçet Güleryüz
Yüzüncü Yıl Üniversitesi Sosyal Bilimler Enstitüsü dergisi = Journal of Yüzüncü Yıl University Social Sciences Institute,
06/2023
60
Journal Article
Recenzirano
Odprti dostop
Sanat tarihine yepyeni bir soluk getiren Aby Warburg, 1924-1929 yıllarında adını bellek tanrıçası Mnemosyne’den alan bir Bellek Atlası oluşturur. Warburg, sanat tarihinin, doğrusal zaman anlayışına ...dayalı ve birbiri ardına gelen sanat akımlarının tarihi olduğunu varsayan geleneksel yaklaşımını terk eder. Buna göre sanat tarihi, imge temelinde sanat eserlerinin birbirleriyle kurduğu etkileşimler üzerinden düşünülmelidir. İmgeler, zaman ve mekandan bağımsız birbiriyle ilişkilendirilerek atlasta yer alırken, bu şekilde aslında durağan olan imgelere bir nevi sinemasal bir hareket kazandırır. Film kuramlarının çağdaş yorumlarında Aby Warburg’un imge temelli yaklaşımının izleri rahatlıkla gözlemlenebilmektedir. Sözgelimi, Philippe-Alain Michaud Warburg’un analizlerini hareketli imgeler üzerinden görsel kültür ve sinema ile ilişkilendirmektedir. Giorgio Agamben ise geliştirdiği film kuramını Warburg’dan esinlenerek ele alırken, tarihçinin çalışmalarını bir tür ‘imge bilimi’ olarak tanımlamakta ve dolayısıyla ‘Bellek Atlası’ndaki imgeleri birer film karesi gibi görmektedir. Gilles Deleuze ise kendine özgü sinema tarihi ve felsefesinde Warburg’a doğrudan bir atıfta bulunmamasına karşın düşünürün sinemaya dair kavramları Warburg’un sanat tarihi anlayışı açısından tartışılacaktır. Böylelikle, bu makalede imge, hareket ve zaman gibi kavramlar Warburg ve sinema ilişkisi üzerinden tartışılacaktır.
Dans le cadre de la réalisation du catalogue des Chrysomelidae de Belgique, nous présentons les catalogue et atlas de la sous-famille des Galerucinae mis à jour à la date du 1er janvier 2022. Ce ...catalogue est adapté à la nomenclature récente et complété par une carte des occurrences connues de nous dans le pays. Un commentaire accompagne chaque espèce.
In this issue of the catalogue of the Chrysomelidae of Belgium, are presented the catalog and atlas of the subfamily Galerucinae, updated on January 1st, 2022. This catalogue is adapted to the recent nomenclature and completed by a map of the occurrences we know in the country. A comment is made on each species.
Les forêts de l’Atlas saharien représentent la bordure sud des aires de distribution naturelle du pin d’Alep (Pinus halepensis Mill.). Elles sont exposées à un stress climatique lié à la sécheresse ...et aux attaques de la chenille processionnaire (CP, Thaumetopoea pityocampa Schiff.). L’objet de notre travail consiste à étudier la variation du taux d’infestation par la CP et la densité de celle-ci en utilisant des facteurs climatiques et les paramètres dendrométriques. Le taux d’infestation par la CP (7,82 %) et la densité de celle-ci (2,74±2,61nids/arbre) ont été moins importants dans nos pinèdes que dans celles du nord. Il est apparu que les attaques de CP augmentent principalement avec la baisse du nombre de jours de gelée et de canicule. Les paramètres dendrométriques ont été négativement corrélés avec la densité de CP par arbre. En revanche, cette dernière a été positivement corrélée avec le taux de défoliation. Les résultats ont été discutés dans un cadre biogéographique à la lumière des connaissances sur la répartition de la CP du pin d’Alep et en relation avec les conditions climatiques.
The forests of the Saharan Atlas represent the southern edge of the natural range of the Aleppo pine (Pinus halepensis Mill.). These are exposed to climatic stress in relation to drought and attacks of the pine processionary moth (Thaumetopoea pityocampa Schiff., denoted by CP in the French text). The purpose of our work is to study the variation of the infestation rate by the pine processionary moth and its density with climatic factors and dendrometric parameters. The infestation rate (7.82%) by the pine processionary moth and its density (2.74±2.61nests/tree) were lower in our pine forests than in the northern ones. It appeared that the attacks of the moth increase mainly with the number of days of frost and heatwave. The dendrometric parameters were negatively correlated with the moth's density per tree. On the other hand, the latter was positively correlated with the defoliation rate. The results were discussed in a biogeographic framework in the light of the current knowledge of the distribution of the pine processionary moth in the Aleppo pine, in relation with the climatic conditions.
Dans la partie sud-est des Monts des Ksour (Algérie), une étude stratigraphique, paléontologique et sédimentologique a été effectuée sur les couches rouges qui affleurent sur la rive gauche de l’Oued ...Tafarahit. Il s’agit d’une série continentale détritique granodécroissante composée de microconglomérats, de grès et d’argiles attribuées au Cénozoïque sans preuve paléontologique. Les niveaux argileux ont livré des charophytes Peckicharaatlasensis, Maedleriellacristellata, Nitellopsis (Tectochara) thaleri, Grovesichara sp. et Lamprothamnium papulosum et des ostracodes (Neocyprideismeguerchiensis, Cyprinotus? sp et Herpetocypris? sp). Cette flore et cette faune permettent d’assigner la Formation Détritique de l’Oued Tafarahit à l’Yprésien inférieur et de confirmer l’existence d’une relation paléobiogéographique étroite entre l’Afrique du Nord et l’Europe du Sud pendant l’Éocène inférieur. La sédimentologie et les microfossiles suggèrent un dépôt dans un environnement fluviatile. Les ostracodes sont typiques des milieux dulçaquicoles à euryhalins. Les formes dulçaquicoles (Cyprinotus? sp. et Herpetocypris? sp.) correspondent probablement à des phases de dessalure lors des périodes de crue. En revanche, l’espèce d’eau saumâtre (Neocyprideismeguerchiensis) est caractéristique des phases de salure lors des périodes d’étiage.
A stratigraphic, palaeontological and sedimentological study was carried out in the red beds cropping out on the left side of Oued Tafarahit, south-east of the Ksour Mountains (Algeria). The studied succession consists of a non-marine fining-upward detrital formation, including microconglomerate, sandstone and clay beds, which were previously attributed to the Cenozoic sensu lato, since no palaeontological evidence was available. Sedimentology suggests deposition in a fluvial environment. The clayey levels yielded the assemblage formed by the charophytes Peckicharaatlasensis, Maedleriellacristellata,Nitellopsis (Tectochara) thaleri,Grovesichara sp., and Lamprothamniumpapulosum and the ostracods Neocyprideismeguerchiensis, Herpetocypris? sp. and Cyprinotus? sp. This assemblage allows constraining the age of the detrital series from Oued Tafarahit to the Ypresian. Ostracods are typical of freshwater to euryhaline environments. The freshwater taxa (Herpetocypris? sp. and Cyprinotus? sp.) would indicate phases of desalinisation during periods of flood. However, the brackish water species (Neocyprideis meguerchiensis) is characteristic of saline phases related to low water table periods. Moreover the charophyte and ostracod assemblage confirms a close palaeobiogeographic relationship between North Africa and Southern Europe during the Lower Eocene.
durabilité des ressources forestières de cette zone, abritant la cédraie la plus étendue du Maroc. Malgré la reconnaissance des impacts négatifs du phénomène de la mise en culture sur les espaces ...forestiers de la province (dépérissement des arbres par écimage et ébranchage effectués par les bergers, dégradation du tapis herbacé des espaces forestiers, etc.), l’ampleur de ce phénomène reste à démontrer. Le présent article se propose de quantifier l’extension de la mise en culture aux dépens des terres de arcours, et d’analyser l’évolution et la dynamique de ce phénomène au cours du temps. La méthodologie adoptée s’appuie sur l’analyse diachronique de l’occupation du sol sur l’ensemble de la province d’Ifrane entre 1987 et 2012 sur la base des données satellitaires (images Landsat et Spot). Les cartes d’occupation du sol ont été produites à travers une classification supervisée par arbre de décision. Elles permettent, suite au calcul des superficies des occupations « parcours » et « terres cultivées », de mettre en évidence une réduction de la superficie des terres de parcours de 94446 ha, face à une augmentation des superficies occupées par les cultures de 94461 ha. La mise en culture s’étend avec un rythme moyen annuel de 3778,4 ha/an aux dépens des terres à usage pastoral collectif, conduisant à une perte annuelle de 616241,26 unités fourragères. Ces dernières sont compensées par la surexploitation du tapis herbacé et arbustif des parcours forestiers, mais aussi du feuillage des arbres forestiers par émondages, effectués par les bergers en période de disette (entre octobre et décembre).
durabilité des ressources forestières de cette zone, abritant la cédraie la plus étendue du Maroc. Malgré la reconnaissance des impacts négatifs du phénomène de la mise en culture sur les espaces ...forestiers de la province (dépérissement des arbres par écimage et ébranchage effectués par les bergers, dégradation du tapis herbacé des espaces forestiers, etc.), l’ampleur de ce phénomène reste à démontrer. Le présent article se propose de quantifier l’extension de la mise en culture aux dépens des terres de arcours, et d’analyser l’évolution et la dynamique de ce phénomène au cours du temps. La méthodologie adoptée s’appuie sur l’analyse diachronique de l’occupation du sol sur l’ensemble de la province d’Ifrane entre 1987 et 2012 sur la base des données satellitaires (images Landsat et Spot). Les cartes d’occupation du sol ont été produites à travers une classification supervisée par arbre de décision. Elles permettent, suite au calcul des superficies des occupations « parcours » et « terres cultivées », de mettre en évidence une réduction de la superficie des terres de parcours de 94446 ha, face à une augmentation des superficies occupées par les cultures de 94461 ha. La mise en culture s’étend avec un rythme moyen annuel de 3778,4 ha/an aux dépens des terres à usage pastoral collectif, conduisant à une perte annuelle de 616241,26 unités fourragères. Ces dernières sont compensées par la surexploitation du tapis herbacé et arbustif des parcours forestiers, mais aussi du feuillage des arbres forestiers par émondages, effectués par les bergers en période de disette (entre octobre et décembre).
durabilité des ressources forestières de cette zone, abritant la cédraie la plus étendue du Maroc. Malgré la reconnaissance des impacts négatifs du phénomène de la mise en culture sur les espaces ...forestiers de la province (dépérissement des arbres par écimage et ébranchage effectués par les bergers, dégradation du tapis herbacé des espaces forestiers, etc.), l’ampleur de ce phénomène reste à démontrer. Le présent article se propose de quantifier l’extension de la mise en culture aux dépens des terres de arcours, et d’analyser l’évolution et la dynamique de ce phénomène au cours du temps. La méthodologie adoptée s’appuie sur l’analyse diachronique de l’occupation du sol sur l’ensemble de la province d’Ifrane entre 1987 et 2012 sur la base des données satellitaires (images Landsat et Spot). Les cartes d’occupation du sol ont été produites à travers une classification supervisée par arbre de décision. Elles permettent, suite au calcul des superficies des occupations « parcours » et « terres cultivées », de mettre en évidence une réduction de la superficie des terres de parcours de 94446 ha, face à une augmentation des superficies occupées par les cultures de 94461 ha. La mise en culture s’étend avec un rythme moyen annuel de 3778,4 ha/an aux dépens des terres à usage pastoral collectif, conduisant à une perte annuelle de 616241,26 unités fourragères. Ces dernières sont compensées par la surexploitation du tapis herbacé et arbustif des parcours forestiers, mais aussi du feuillage des arbres forestiers par émondages, effectués par les bergers en période de disette (entre octobre et décembre).
durabilité des ressources forestières de cette zone, abritant la cédraie la plus étendue du Maroc. Malgré la reconnaissance des impacts négatifs du phénomène de la mise en culture sur les espaces ...forestiers de la province (dépérissement des arbres par écimage et ébranchage effectués par les bergers, dégradation du tapis herbacé des espaces forestiers, etc.), l’ampleur de ce phénomène reste à démontrer. Le présent article se propose de quantifier l’extension de la mise en culture aux dépens des terres de arcours, et d’analyser l’évolution et la dynamique de ce phénomène au cours du temps. La méthodologie adoptée s’appuie sur l’analyse diachronique de l’occupation du sol sur l’ensemble de la province d’Ifrane entre 1987 et 2012 sur la base des données satellitaires (images Landsat et Spot). Les cartes d’occupation du sol ont été produites à travers une classification supervisée par arbre de décision. Elles permettent, suite au calcul des superficies des occupations « parcours » et « terres cultivées », de mettre en évidence une réduction de la superficie des terres de parcours de 94446 ha, face à une augmentation des superficies occupées par les cultures de 94461 ha. La mise en culture s’étend avec un rythme moyen annuel de 3778,4 ha/an aux dépens des terres à usage pastoral collectif, conduisant à une perte annuelle de 616241,26 unités fourragères. Ces dernières sont compensées par la surexploitation du tapis herbacé et arbustif des parcours forestiers, mais aussi du feuillage des arbres forestiers par émondages, effectués par les bergers en période de disette (entre octobre et décembre).
Cet article étudie l'allocation optimale des espaces verts urbains. Nous analysons deux types de paramètres de modèle pour étudier le niveau global de l'offre d'espaces verts, ainsi que leurs tailles ...et leurs distances entre les différents quartiers et les distances par rapport au centre-ville. Nous avons constaté que l'égalité des tailles, des distances et de la distribution globale des espaces verts n'est pas optimale dans les villes monocentriques. Précisément, le niveau des espaces verts urbains et leur nombre à l'optimum suivent une fonction non monotone de la distance au centre-ville. Nous confirmons également nos prédictions théoriques en utilisant la base de données géographiques très détaillée de l'Atlas urbain de l'Agence européenne pour l'environnement, qui décrit l'utilisation des sols de 305 villes européennes de plus de 100 000 habitants.
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