Background. Pahlavani and Zurkhaneh rituals have existed in Iran since the Parthian Empire. This martial art continued in the Islamic period and flourished due to cultural and social settings. A ...study on the evolution of this art specifies its prospering during the Qajar period as the Zurkhaneh became a common site in the urban context. Pahlavani martial arts play a significant role in depicting heroic behaviors and valiant tutoring and highlight unique architectural features and place emphasis on various cultural venues embedded within signs and symbols.Problem and Aim. The aim of this study is to portray what moral and cultural principles are applied to the structure and arrangement of the Zurkhanehs of the Qajar period. It also attempts to study the cultural and moral position of the Zurkhaneh within Iranian society. Recognition of the symbols and signs of this Pahlavani martial art can therefore acquaint us with the evolutionary process of the foundation of such institutions, and their cultural role, by analyzing concepts such as modesty, virtue and Futuwwa in the structure of the Zurkhanehs of Iran during the Qajar era. Methods. The present study investigates the issue under study via a descriptive-analytic methodology based on library resources and field observations.Conclusion. The findings of the research show that concepts of modesty, virtue, and Futuwwa are perceived in the Qajar Zurkhanehs of Tehran specifically in the way of entering and in the positioning of the Morshed and heroes.
This article compares the contents of a 17th century futuwwa statute of Bosnian tanners with those of a similar document found in Albania, and assesses what implications these two documents together, ...and the similarities between them, have on the thesis about the existence of an Aḫī-Qādiriyya Sufi order in the Balkans, and wider in the Ottoman Empire.
Cette note compare le contenu d'un statut de futuwwa du xviie siècle des tanneurs bosniaques avec celui d'un document similaire trouvé en Albanie et évalue les implications de ces deux documents sur la thèse de la présence d'un ordre soufi Aḫī-Qādirī dans les Balkans et plus généralement dans l'Empire ottoman.
This article is in English.
Les textes publiés dans le présent volume représentent une contribution aux débats portant sur l’origine de la mystique en terre d’islam, en particulier du soufisme, et sur son évolution lors des ...premiers siècles de l’ère hégirienne. La difficulté de l’approche est double : celle de comprendre des origines par nature éloignées et imprécises, et celle d’aborder un phénomène personnel et fuyant comme l’est la mystique. Cette question des origines demande une relecture des textes les plus anciens et une prise de distance par rapport aux idées reçues tant dans la tradition musulmane que dans les milieux universitaires. Il s’agit de savoir comment sont apparus au fil des siècles des hommes et des femmes considérés comme des Maîtres et comment le rapport entre eux et ceux qui sollicitaient leur enseignement et leur compagnie s’est établi et formalisé. Les enjeux sont essentiels : ils touchent à la définition de l’autorité religieuse, à la légitimation de l’entreprise mystique et à la validité et à la reconnaissance de son discours.Le choix de cette thématique – le rapport entre Maîtres et disciples – permet d’aborder les questions de l’enseignement, de la formation et de la transmission de l’expérience mystique. C’est précisément autour de l’exercice et de la nature de ce rapport que se construiront tous les groupes mystiques musulmans, soufis ou non. Mais il nous entraine au cœur d’un paradoxe : l’expérience mystique n’est-elle pas en effet, par définition, personnelle, non reproductible à l’identique et, partant, intransmissible ?
Les textes publiés dans le présent volume représentent une contribution aux débats portant sur l’origine de la mystique en terre d’islam, en particulier du soufisme, et sur son évolution lors des ...premiers siècles de l’ère hégirienne. La difficulté de l’approche est double : celle de comprendre des origines par nature éloignées et imprécises, et celle d’aborder un phénomène personnel et fuyant comme l’est la mystique. Cette question des origines demande une relecture des textes les plus anciens et une prise de distance par rapport aux idées reçues tant dans la tradition musulmane que dans les milieux universitaires. Il s’agit de savoir comment sont apparus au fil des siècles des hommes et des femmes considérés comme des Maîtres et comment le rapport entre eux et ceux qui sollicitaient leur enseignement et leur compagnie s’est établi et formalisé. Les enjeux sont essentiels : ils touchent à la définition de l’autorité religieuse, à la légitimation de l’entreprise mystique et à la validité et à la reconnaissance de son discours. Le choix de cette thématique – le rapport entre Maîtres et disciples – permet d’aborder les questions de l’enseignement, de la formation et de la transmission de l’expérience mystique. C’est précisément autour de l’exercice et de la nature de ce rapport que se construiront tous les groupes mystiques musulmans, soufis ou non. Mais il nous entraine au coeur d’un paradoxe : l’expérience mystique n’est-elle pas en effet, par définition, personnelle, non reproductible à l’identique et, partant, intransmissible ?
The graphic novelMetro(Mitrū), written and illustrated by Egyptian artist Magdy El Shafee, was first published in 2008 by the now-defunct Egyptian house Dar al-Malāmiḥ, which had a reputation for ...championing younger and politically outspoken authors.¹ Soon afterMetro’s publication, the Egyptian government confiscated all printed copies of the book on the grounds of “offending public morals.” The novel includes one panel showing partial nudity, but the underlying reason for the book’s confiscation was likely its bleak view of late-Mubarak-era Egypt, in which bank-robbing is characterized as a justified response to a corrupt system stacked against the poor. Both
This book represents a remarkable synthesis of recent discussion and debate regarding crucial aspects of postmodernization, religious change and the globalization of world society.
كشف المكنون في شعر التصوف باللسان العربي مليان, محمود
Les maîtres soufis et leurs disciples des IIIe-Ve siècles de l'hégire (IXe-XIe),
2012, 2012-12-20
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الشعر هو لغة الجدال وفنّ الحِجاج عند العرب فدراسة بعض القطع المختارة من الشعر الصوفي تسمح بوضعه في سياق تطور تاريخي للأدب والفكر والمجتمع. يحتوي المقال على قراءة جديدة لتلك القطع ودراسة أساليبها ...كتعدّد المعاني والترابط النصّي وتداخل النصوص و يبحث في المراجع الثقافية لفهم قيمتها التعليمية وفكّ رموزها الشعرية وما تتضمّنه من كلمات منسوخة، يعتبر شعر شيوخ القرنين التاسع والعاشر الميلادي أساس المدرسة الصوفية التي أثرت الأدب و اللغة العربية.
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