The spacetime evolution of massless spinning particles in a Robertson-Walker background is derived using the deterministic system of equations of motion from Papapetrou, Souriau and Saturnini. A ...numerical integration of this system of differential equations in the case of the standard model of cosmology is performed. The deviation of the photon worldlines from the null geodesics is of the order of the wavelength. Perturbative solutions are also worked out in a more general case. An experimental measurement of this deviation would test the acceleration of our expanding Universe.
The “gravitational memory effect” due to an exact plane wave provides us with an elementary description of the diffeomorphisms associated with the analogue of “soft gravitons for this ...nonasymptotically flat system. We explain how the presence of the latter may be detected by observing the motion of freely falling particles or other forms of gravitational wave detection. Numerical calculations confirm the relevance of the first, second and third time integrals of the Riemann tensor pointed out earlier. Solutions for various profiles are constructed. It is also shown how to extend our treatment to Einstein-Maxwell plane waves and a midisuperspace quantization is given.
We give an account of the gravitational memory effect in the presence of the exact plane wave solution of Einstein's vacuum equations. This allows an elementary but exact description of the soft ...gravitons and how their presence may be detected by observing the motion of freely falling particles. The theorem of Bondi and Pirani on caustics (for which we present a new proof) implies that the asymptotic relative velocity is constant but not zero, in contradiction with the permanent displacement claimed by Zel'dovich and Polnarev. A non-vanishing asymptotic relative velocity might be used to detect gravitational waves through the “velocity memory effect”, considered by Braginsky, Thorne, Grishchuk, and Polnarev.
Objectif Dans le but d'améliorer l'équilibre glycémique sous l'insuline basale (IB), nous avons étudié 3 options thérapeutiques d'intensification chez des adultes diabétiques de type 2 (DT2), ...majoritairement obèses, traités par IB (≥ 6 mois) ± 1-3 ADO). Patients et Méthodes Si l'HbA1c est comprise entre 7-9 % après une phase préliminaire de 12 semaines d'optimisation de l'IG avec arrêt des autres ADO autres que la metformine, les patients étaient randomisés pour recevoir soit du lixisénatide 20 μg 1 fois par jour (LIXI), soit de l'insuline glulisine une fois par jour (GLU-1), soit de l'insuline glulisine 3 fois par jour (GLU-3), en association à l'insuline glargine (IG). Les co-critères primaires à 26 semaines étaient (1) la non-infériorité (limite supérieure de l'IC 95 % < 0,4 %) de baisse de l'HbA1c sous LIXI vs GLU-1 et (2) pour LIXI vs GLU-3 soit la non infériorité de baisse de l'HbA1c (2a), soit la supériorité (α unilatéral = 0,025) pour la variation de poids (2b). Les GAJ, GPP, doses d'IG, les EI et les hypoglycémies ont été évalués. Résultats 298 patients ont été randomisés dans chaque bras (durée du DT2 : 12 ans, durée d'IB : 3 ans, poids : 89 kg). Tous les co-critères primaires ont été atteints : LIXI n'était inférieur ni à GLU-1 ni à GLU-3 pour la baisse d'HbA1c (différence IC 95 % respectivement à − 0,05 % − 0,17 ; 0,06 et 0,21 % 0,10 ; 0,33) et était supérieur à chaque groupe pour la perte de poids (respectivement − 1,7 kg − 2,3 ;− 1,1 p < 0,0001 et − 2,0 kg − 2,6 ;− 1,4 p < 0,0001). Les hypoglycémies documentées étaient numériquement et significativement moins importantes sous LIXI que sous GLU-1 et GLU-3 respectivement. Conclusions L'association IB + LIXI pourrait devenir une option de choix pour atteindre les objectifs glycémiques avec moins d'hypoglycémies et sans conséquence négative pour le poids vs l'insuline prandiale utilisée en schéma basal-plus ou basal-bolus chez des patients DT2 insuffisamment équilibrés sous IB et metformine.
Contexte Les patients reçus au centre d’évaluation et de traitement des troubles de l’humeur complexes (CETTHC) sont adressés par leur médecin, souvent en échec thérapeutique après plusieurs lignes ...de traitement. Compte tenu de la polymédication et de la fréquente consommation de substances psychoactives, il est fondamental de réaliser une expertise pharmacologique. Le CETTHC et le service de pharmacologie du CHU de Nantes ont rendu possible les « consultations pharmacologiques » afin de compléter l’évaluation clinique des patients. À travers deux exemples, nous soulignons l’importance de l’expertise pharmacologique pour l’optimisation du traitement des patients. Matériel et méthode Les patients pris en charge au CETTHC sont reçu en consultation par un pharmacologue. Celui-ci réalise une expertise basée sur un historique médicamenteux précis, une évaluation de l’observance, de la tolérance, de l’adhésion du patient, ainsi que des interactions pharmacocinétiques et pharmacodynamiques. Nous présentons deux expertises pharmacologiques réalisées au cours du premier semestre 2014. Résultats Le premier exemple souligne l’importance de l’analyse des interactions pharmacocinétiques médicamenteuses. Le deuxième souligne la nécessité d’évaluer précisément les consommations (tabac, alcool et autres substances). Dans les deux cas, l’efficacité du traitement était diminuée. L’expertise pharmacologique a conduit à des propositions d’adaptations thérapeutiques précises et pertinentes. Conclusions La pharmacologie est une discipline transversale. Les pharmacologues ont une place privilégiée à saisir dans les services cliniques, en particulier ceux accueillant des patients en échec thérapeutique. À l’époque de la médecine personnalisée, disposer d’un regard centré sur le traitement en complément de l’évaluation psychiatrique représente un enjeu majeur.