Objectif Évaluation des associations entre l’insulinorésistance et la stéatose hépatique (SH) parmi des patients avec diabète sucré type 2 (DST2) ou hépatite C chronique (HCC), étant données les ...publications antérieures controversées sur ce sujet. Patients et méthodes Analyse transversale des trois groupes de patients adultes, dénommées DS (DST2 et SH, 55 sujets), DSH (DST2, SH et HCC, 37 sujets) et H (HCC et normoglycémie, sans stéatose, 19 sujets), ayant signé préalablement un consentement éclairé et auxquels ces dates ont été collectées : âge, sexe, indice de masse corporelle (IMC), tour de taille (TT), glycémie et insulinémie à jeûne. L’insulinorésistance a été appréciée en calculant HOMA-IR et QUICKI. Résultats Une distribution similaire par sexe et un âge moyen plus bas du groupe H étaient présentes. Les valeurs moyennes de l’IMC et du TT dans groupe H étaient inférieures à celles des groupes DS ( p = 0,001, respectivement p = 0,002) et DSH ( p = 0,05, respectivement p = 0,022). L’insulinorésistance par valeurs moyennes du HOMA-IR et QUICKI était plus baisse ( p = 0,0001) dans le groupe H comparé aux groupes DS et DSH, avec p > 0,05 entre DS et DSH. Les différences ont été effacées après l’ajustage par IMC ( p > 0,05) et partiellement réduites après l’ajustage par TT, avec p = 0,01 (H vs. DS) et p = 0,001 (H vs. DSH) pour HOMA-IR, p = 0,05 (H vs. DS) et p = 0,01 (H vs. DSH) pour QUICKI. Discussion Même si l’insulinorésistance semble corrélée à la présence du diabète, son niveau est plutôt influencé par le capital adipeux total et abdominal chez ces patients avec HCC et diabète type 2.
Objectif Comparaison de l’influence du diabète sucré type 2 (DST2), de l’hépatite B chronique (HBC) et la stéatose hépatique (SH) sur le niveau de l’insulinorésistance, en tenant compte de la rareté ...des publications sur ce sujet. Patients et méthodes Analyse transversale des trois groupes de patients, DS (DST2 et SH, 55 sujets), DSH (DST2, SH et HBC, 30 sujets) et H (HBC et normoglycémie, sans stéatose, 17 sujets), auxquels le consentement éclairé préalable et les dates suivantes ont été collectées : âge, sexe, indice de masse corporelle (IMC), tour de taille (TT), glycémie et insulinémie à jeûne. L’insulinorésistance a été appréciée en calculant HOMA-IR et QUICKI. Résultats La distribution des groupes par sexe était similaire ; l’âge moyen du groupe H était plus bas. L’IMC et le TT moyennes du groupe H étaient inférieurs aux valeurs correspondantes des groupes DS (les deux p = 0,001) et DSH ( p = 0,0005, respectivement p = 0,002). Il y avait des différences entre les valeurs moyennes du HOMA-IR et QUICKI, avec une l’insulinorésistance du groupe H inférieure aux groupes DS et DSH (HOMA-IR : p = 0,0001 ; QUICKI : p = 0,05, respectivement p = 0,01). Les différences ont été annulées après l’ajustage par IMC ( p > 0,05) et partiellement réduites après l’ajustage par TT, avec p = 0,05 (H vs. DS) et p = 0,002 (H vs. DSH) pour HOMA-IR, p = 0,05 pour QUICKI (H vs. DS et DSH). Discussion Dans ces patients avec pathologies hépatiques, le déterminant majeur du niveau de l’insulinorésistance semble être l’excès adipeux et pas la présence du diabète, avec la totalité des dépôts gras étant plus importante que l’adiposité abdominale.
Objectif L’analyse des associations entre la stéatose hépatique (SH), l’hépatite C chronique (HCC) et le profil métabolique parmi les patients avec diabète sucré type 2 (DST2) du comte d’Iasi, ...Roumanie, en tenant compte des résultats contradictoires publiés sur ce sujet. Patients et méthodes Étude transversal sur trois groupes de patients adultes, dénommées DS (DST2 et SH, 55 sujets), DSH (DST2, SH et HCC, 37 sujets) et H (HCC et normoglycémie, sans stéatose, 19 sujets). Le consentement éclairé et les dates suivantes ont été collectées : indice de masse corporelle (IMC), tour de taille (TT), rapport taille-hanches (RTH), hypertension artérielle (HTA), adiponectine et lipides. Résultats L’IMC du groupe H était inférieur aux groupes DS ( p = 0,001) et DSH ( p = 0,05) et celui du groupe DSH inférieur au groupe DS ( p = 0,05). Situations similaires existaient pour les valeurs des TT et RTH et pour l’incidence de l’HTA. Les obèses (IMC ≥ 30 kg/m2 ) étaient significativement plus rares dans le groupe H comparé au groupe DS ( p = 0,011). Les valeurs moyennes du cholestérol total, LDL et des triglycérides étaient plus élevées dans le groupe DS comparé aux groupes DSH et H ( p < 0,05 dans tous cas). L’adiponectine était plus élevée dans le groupe DSH ( p = 0,001). Les autres comparaisons entre les trois groupes n’attendaient la signification statistique. Discussion L’addition du HCC au DST2 modifie substantiellement le profile métabolique. Même si l’excès pondéral est encore présent, il est d’une ampleur plus limitée et détermine plus rarement la modification des valeurs tensionnelles ou lipidiques, sans que ces apparences favorables puissent induire un pronostic moins sombre.
Objectif L’analyse des associations entre la stéatose hépatique (SH), l’hépatite B chronique (HBC) et le profil métabolique parmi les patients avec diabète sucré type 2 (DST2) du comte d’Iasi, ...Roumanie, compte tenu de la rareté des publications à ce sujet. Patients et méthodes Étude transversal sur trois groupes de patients, dénommées DS (DST2 et SH, 55 sujets), DSH (DST2, SH et HBC, 30 sujets) et H (HBC et normoglycémie, sans stéatose, 17 sujets), auxquels le consentement éclairé et les dates suivantes ont été collectées : âge, sexe, indice de masse corporelle (IMC), tour de taille (TT), rapport taille-hanches (RTH), hypertension artérielle (HTA), adiponectine et lipides. Résultats La distribution par sexe était similaire ; l’âge moyenne du groupe H était inférieure aux autres. L’IMC moyen des groupes DS et DSH était supérieur à celui du groupe H ( p = 0,001). Les moyennes des TT et RTH et l’incidence de l’HTA étaient aussi plus baisses dans le groupe H. L’IMC ≥ 30 kg/m2 était plus rare dans le groupe H comparé aux groupes DS et DSH ( p = 0,013). L’hypertriglicéridémie était plus fréquente dans le groupe DS, comparé aux groupes DSH ( p = 0,0007) et H ( p = 0,00001). Les moyennes du cholestérol total, de ses fractions et de l’adiponectine sérique ne montraient pas des différences significatives entre les groupes ( p > 0,05). Il n’y avait pas des autres différences significatives entre les groupes. Discussion L’addition du HBC au DST2 ne modifie pas substantiellement le profile métabolique. Les différences entre les trois groupes analysées sont minimales et probablement induites par l’excès pondéral et la présence du diabète.
But Analyser les associations entre la néphropathie diabétique et les traits de l’insulinorésistance parmi des diabétiques type 1, en connaissant les spéculations sur le rôle négatif de la dernière ...dans l’évolution de l’atteinte rénale du diabète. Patients et méthodes Analyse transversale des dates cliniques (indice de masse corporelle - IMC, tour de taille - TT, rapport taille/hanches - RTH) et biologiques (HDL-cholestérol, triglycérides, rapport albumine-créatinine - RAC) provenant de 168 patients avec diabète type 1 (69 femmes, 99 hommes, âgés 19–70 ans). Résultats La majorité des patients étaient normoponderaux ou surpondéraux (54,2 %, respectivement 34,5 %) et seulement 10,1 % étaient obèses. Les TT et RTH étaient élevés dans 40 % et respectivement 30,6 % des cas (femmes vs. hommes : TT - 48,5 % vs. 34 % ; RTH - 39,4 % vs. 24,5 % ; p < 0,05). En analysant le RAC, la microalbuminurie et la protéinurie ont été notées dans 28,0 %, respectivement 8,9 % des cas, mais aucune corrélation n’a été enregistrée avec IMC, TT ou RTH. Les patients avec un TT élevé étaient même caractérisés par des prévalences réduites des microalbuminurie et protéinurie, comparés à ceux avec TT normal (TT normal vs. élevé : microalbuminurie 63,6 % vs. 36,4 %, protéinurie 85,7 % vs. 14,3 %, p < 0,05). Les valeurs du HDL-cholestérol étaient significativement différentes seulement entre les groupes avec normoalbuminurie vs. microalbuminurie (p = 0,006), mais pas entre les autres (p > 0,05). Les triglycérides n’ont présente aucune corrélation avec les éliminations urinaires d’albumines. Discussion L’étude de l’insulinorésistance dans les diabétiques type 1 est difficile en tenant compte des erreurs que les tests basés sur le dosage de l’insuline (clamp, HOMA, QUICKI etc.) peuvent produire. Les indicateurs cliniques et biologiques de l’insulinorésistance que nous avons utilisés ont échoué à identifier des corrélations systématiques avec la néphropathie diabétique. Il parait que, dans l’absence de l’excès absolu de poids, la déposition adipeuse abdominale n’est pas suffisante pour influencer négativement l’évolution de la complication rénale du diabète.
Rationnel Etudier l’impact des anomalies lipidiques sur la néphropathie diabétique (ND) parmi les diabétiques type 1 du comté d’Iasi (Roumanie), en tenant compte des controverses regardant le rôle ...négatif de la dyslipidémie sur la complication rénale du diabète. Patients et méthodes Analyse transversale des valeurs biologiques (bilan lipidique ; éliminations urinaires d’albumines - EUA, appréciées par le rapport albumine-créatinine - RAC ; débit de filtration glomérulaire - DFG, calculé par Cockroft-Gault) provenant de 168 patients adultes avec diabète type 1 (69 femmes et 99 hommes, âgés 19–70 ans). Résultats En utilisant le RAC, la microalbuminurie et la macroalbuminurie étaient présentes dans 28,0 %, respectivement 8,9 % des cas ; 64,9 % des patients avaient un DFG > 90 ml/min, pendant que 28 % des patients se situaient entre 60–90 ml/min et 7,1 % entre 30–60 ml/min. Les valeurs moyennes du cholestérol total (p < 0,0001), du LDL-cholestérol (p = 0,006) et du HDL-cholestérol (p = 0,006) étaient significativement différentes entre les groupes avec normoalbuminurie vs. microalbuminurie, mais pas entre les groupes avec normoalbuminurie vs. macroalbuminurie ou microalbuminurie vs. macroalbuminurie (p > 0,05 en tous cas). Le cholestérol total était significativement différent seulement entre les groupes avec DFG > 90 ml/min et 30–60 ml/min (p = 0,013), tandis que le LDL-cholestérol était significativement différent pour chaque DFG groupe (> 90 ml/min vs. 30–60 ml/min : p = 0,002 ; 60–90 ml/min vs. 30 60 ml/min : p = 0,01). Les valeurs des triglycérides n’ont présente aucune corrélation avec les EUA ou la DFG et le HDL-cholestérol n’a pas été corrélé avec la DFG. Conclusion Nos résultats indiquent une liaison quelconque entre unes des fractions lipidiques et la qualité de la fonction rénale dans nos patients. Surprenant, ces connexions sont plus évidentes dans les stages précoces de la néphropathie diabétiques, pour se réduire plus tard, quand l’adhérence diététique augmentée ou même la malnutrition peuvent en être considérées responsables. Toutes ces suppositions doivent être vérifiées par des études plus importantes numériques et de structure longitudinale.
Burnout is a state of physical or mental collapse caused by overwork or stress. Burnout during residency training has gained significant attention secondary to concerns regarding job performance and ...patient care. The new COVID-19 pandemic has raised public health problems around the world and required a reorganization of health services. In this context, burnout syndrome and physical exhaustion have become even more pronounced. Resident doctors, and especially those in certain specialties, seem even more exposed due to the higher workload, prolonged exposure and first contact with patients. This article is a short review of the literature and a presentation of some considerations regarding the activity of the medical residents in a non-Covid emergency hospital in Romania, based on the responses obtained via a questionnaire. Burnout prevalence is not equal in different specialties. We studied its impact and imagine the potential steps that can be taken in order to reduce the increasing rate of burnout syndrome in the pandemics.
Objectif Analyser la relation entre l’hypertension artérielle et la fonction rénale parmi les diabétiques type 1 du comte d’Iasi (Roumanie), en connaissant que la néphropathie diabétique et ...l’hypertension ont un impact négatif réciproque. Patients et méthodes Analyse rétrospective des données des deux années consécutives dans les fiches de consultation ambulatoire de 994 patients avec diabète type 1 (441 femmes, 553 hommes) : bilan clinique, dates anthropométriques (indice de masse corporelle, tour de taille, rapport taille-hanches), éliminations urinaires d’albumines (EUA), débit de filtration glomérulaire (DFG) calculé par Cockroft-Gault. Résultats Trente-cinq pour cent des patients étaient hypertendus et 39,8 % avaient un DFG < 90 ml/min. Parmi les 30,7 % des patients (305 cas) où les EUA avaient été récemment mesurées, la microalbuminurie et la protéinurie étaient présentes dans 24,6 % et 27,2 % des cas. La prévalence de l’hypertension était significativement plus élevée ( p < 0,001) parmi les patients avec protéinurie et microalbuminurie (73,2 % et respectivement 44,6 % vs 25,5 % en normoalbuminurie) et parmi ceux avec DFG < 30 ml/min et 30–59 ml/min (100 % et respectivement 61,0 % vs 43,4 % et 27,0 % parmi ceux avec DFG = 60–89 ml/min et > 90 ml/min). Ces résultats n’étaient pas influencés par les dates anthropométriques, qui n’ont pas été corrélées avec les EUA ou le DFG. Discussion Même en utilisant les moyennes diagnostiques élémentaires disponibles dans l’ambulatoire, la connexion entre l’hypertension artérielle et l’atteinte rénale est évidente. L’appel réduit au spécialiste diabétologue et aux méthodes de dépistage précoce de la néphropathie empêche la prise en charge de nos patients, même si des ressources minimes permettraient l’évaluation de l’impact que l’hypertension exerce sur nos patients diabétiques type 1.
Objectif Établir si la néphropathie diabétique s’associe avec l’excès pondéral parmi les diabétiques type 1 du comte d’Iasi, Roumanie, en tenant compte des controverses sur le rôle de l’adiposité et ...de l’insulinorésistance dans la genèse de cette complication chronique du diabète sucré. Patients et méthodes Étude transversal sur les fiches de consultation ambulatoire de 994 patients avec diabète type 1 (441 femmes et 553 hommes âgés 18–84 ans), en analysant les données des deux années consécutifs : indice de masse corporelle (IMC), tour de taille (TT), rapport taille-hanches (RTH), éliminations urinaires d’albumines (EUA), doses d’insuline. Résultats La normoalbuminurie, microalbuminurie et protéinurie étaient présentes dans 48,2 %, 24,6 % et respectivement 27,2 % des cas. 46,3 % des patients étaient normoponderaux, 34 % étaient surpondéraux et 16,8 % obèses. Les TT et RTH étaient élevés dans 45,8 % et respectivement 39,1 % des cas (femmes vs. hommes : TT–57,8 % vs. 35 % ; RTH–47,3 % vs. 31,8 % ; p < 0,05). Les variations des EUA n’ont pas enregistré aucune corrélation avec l’IMC, le TT, le RTH ou les doses totales d’insuline ( p > 0,05). La déposition abdominale de l’adiposité, définie par le TT, avait même une prévalence réduite dans le groupe avec protéinurie. Discussion Nos résultats ne confirment pas l’hypothèse du rôle négatif de l’excès pondéral et de l’insulinorésistance dans l’induction de la néphropathie diabétique. Cependant, il est possible que les étapes avancées de la néphropathie, caractérisées par protéinurie, soient dominées par les procès cataboliques, en déterminant des pertes de poids qui effacent la liaison entre le capital adipeux et la complication rénale du diabète.