We used a standardized screening tool to examine frequency of depression and its relation to antiretroviral medication adherence among HIV-infected persons on highly active antiretroviral therapy ...(HAART) in the Study to Understand the Natural History of HIV/AIDS in the Era of Effective Therapy (SUN Study). This is a prospective observational cohort of 700 HIV-infected patients enrolled between March 2004 and June 2006 in four U.S. cities, who completed a confidential audio computer-assisted self-interview ACASI with behavioral risk and health-related questions at baseline and 6-month follow-up visits, including the nine-question PRIME-MD depression screener and a validated 3-day antiretroviral adherence question. Among 539 eligible participants receiving HAART, 14% had depression at baseline (22% women, 12% men). In multivariable analysis using generalized estimating equations (GEE) to account for repeated measurements through 24 months of follow-up, persons who reported depression on a given ACASI were twice as likely to report nonadherence to antiretrovirals on the same ACASI (Odds ratio OR 2.02, 95% CI: 1.15, 3.57 for mild/moderate depression versus none); such persons were also less likely to have HIV viral load<400 copies/mL. Self-administered computerized standardized screening tools can identify at-risk individuals with depression who may benefit from interventions to improve antiretroviral adherence.
rechercher par IRM de flux une éventuelle relation entre dynamique du LCS et risque de chutes d’étiologie indéterminée chez le sujet âgé.
une quantification du flux à travers l’aqueduc de Sylvius a ...été réalisée par ciné IRM en contraste de phase chez 23 sujets âgés ambulatoires. Ces sujets étaient initialement explorés pour Déficit Cognitif Léger, mais n’étaient pas déments et ne présentaient pas de pathologie ou traitement médicamenteux pouvant être à l’origine de chutes. L’évaluation de la motricité incluait la recherche d’un antécédent de chute(s), le « walking talking » test, le « up and go » test, l’évaluation du polygone de sustentation, de la station debout en appui monopodal, et la mesure de la vitesse de marche rapide.
l’antécédent de chute(s) était associé à une altération des courbes de débit du LCS — accélération diastolique initiale majorée, augmentation du rapport R volume diastolique/durée de la systole du LCS — ainsi qu’un élargissement de l’aqueduc (p < = 0,0006). Une tendance à des altérations hydrodynamiques similaires était associée à une réponse anormale au walking talking test, au test d’appui monopodal. Les paramètres d’amplitude des courbes de débit du LCS, les valeurs d’accélération diastolique initiale, et les ratios R apparaissaient corrélées à la surface de l’aqueduc (p < = 0,01).
ces premiers résultats suggèrent qu’une altération de la dynamique du LCS pourrait jouer un rôle dans la survenue de chutes d’étiologie inconnue chez le sujet âgé.
Analyser, sur une imagerie de résolutions spatiale et en contraste élevées, les caractéristiques morphologiques des lésions dites « Age-Related White Matter Changes ».
Les lésions de leucoaraïose ont ...été étudiées chez 60 sujets âgés (73 ± 5 ans) présentant un Déficit Cognitif Léger, par ailleurs sans antécédent neurologique ou maladie générale évolutive. Le protocole d’imagerie incluait des séquences coronales 3D de pondération T1 (FSPGR) et FLAIR.
Les lésions subépendymaires étaient de contours réguliers et ne s’étendaient pas aux régions superficielles sous corticales. Elles n’étaient que rarement de topographie postérieure (13 %) –– avec dans ce cas un caractère très focal –– et jamais de localisation temporale. Des lésions en « bandes » (20 %) paraventriculaires de grand axe antéropostérieur suivaient la courbure ventriculaire adjacente dans le centre ovale ou en temporopariétal. De fin signaux linéaires, de trajet correspondant à celui des perforantes, étaient détectés au sein des lésions de la substance blanche profonde, superficielle et des noyaux gris centraux. Des anomalies focales de signal du corps calleux étaient fréquentes (57 %).
l’imagerie haute résolution permet de distinguer les lésions strictement périventriculaires, de configuration et distribution spécifiques répondant aux caractéristiques hydrodynamiques locorégionales, les bandes paraventriculaires de topographie « jonctionnelle », et les lésions « striées » évocatrices de dégénérescence périvasculaire.