Une grande 'Chambre à Projection Temporelle' (TPC) est un candidat pour la détection et la mesure des traces chargées auprès de l'ILC, collisionneur linéaire d'électrons et de positons de 31 km ...permettant d'atteindre des énergies dans le centre de masse de 250 GeV à 1 TeV. Le travail de R&D décrit dans cette thèse porte sur un type nouveau de TPC, dont la lecture est assurée par des Micromégas à anode résistive. Ce dispositif permet de répartir le signal électrique sur plusieurs carreaux, même lorsque la charge est déposée sur un seul carreau. Il permet aussi de protéger l'électronique, ce qui est utilisé dans notre prototype pour miniaturiser les cartes de lecture. Dans ce travail, des modules Micromégas ont été testés et caractérisés, dans un premier temps, en faisceau, un par un au centre de la chambre, puis 7 modules montés en même temps de façon à couvrir la surface. Egalement, des tests sur un banc équipé d'une source de ⁵⁵Fe ont permis de caractériser les 7 modules utilisés. Une résolution en position de 60 microns par ligne de carreaux est obtenue à petite distance de dérive. L'uniformité est aussi évaluée, et des distorsions pouvant atteindre environ 500 microns sont observées. L'ensemble des résultats démontre l'adéquation de ce type de lecture à la TPC pour l'ILC. La fraction de retour des ions est également mesurée à l'aide d'un détecteur de même géométrie et avec le même gaz que ceux utilisés dans ces tests, et la loi en rapport inverse des champs est validée à nouveau dans ces conditions. La même technique est appliquée à la réalisation d'un imageur neutron, consistant en une TPC Micromégas 'plate' précédée d'un film convertisseur de 1mm d'épaisseur. Les protons éjectés par les neutrons sont 'suivis à la trace' dans le volume gazeux, ce qui permet de reconstruire avec une précision meilleure que le millimètre le point d'origine du neutron.
En nous inspirant de la méthode de Feng Baicai4, nous avons proposé a nos étudiants les démarches suivantes: a.Lire le texte a traduire dans sa totalité et a maintes reprises (au moins deux) et se ...renseigner autant que possible sur son style, sur son auteur et sur l'arriereplan de sa composition (en particulier pour les textes littéraires); b.Relever les mots et les phrases non compris et procéder a des consultations (dictionnaires de langues, professeurs), a des analyses grammaticales pour en saisir le sens - Solution des difficultés linguistiques; c.Relever les noms propres, abréviations, proverbes, adages, citations, termes techniques et procéder a des consultations (encyclopédies, ouvrages spécialisés, professeurs, experts ou camarades aínés) pour en connaître la personne ou l'objet - Solution des difficultés culturelles et techniques; d.Elaborer une premiere traduction et corriger ce brouillon en le confrontant avec le texte original; e.Mettre en valeur les mots du texte traduit en veillant a la bonne ponctuation. f. Rédiger et joindre des notes; g.Recopier le texte traduit au net (a la machine si possible) et le présenter au professeur. Ainsi les phrases aussi complexes que celle-ci pourraient bien constituer une difficulté pour nos apprenants traducteurs: C'est l'illustration d'une société dite de «consommation», qui, perdant de vue la satisfaction des besoins ou des aspirations de l'homme, l'entraîne dans un engrenage dont il est la victime, alors qu'il devrait étre le bénéficiaire de biens de plus en plus satisfaisants, á la production desquels il participe pourtant pleinement.9 Une étude comparative des deux langues en vue de faciliter la traduction dans le domaine de la syntaxe, ainsi que dans celui de la sémantique est fondamentale et c'est ce qu'a réalisé le professeur Zheng Fuxu dans ses Eléments de la traduction français-chinois, dont la majorité des pages sont consacrées a cet objectif: pronoms, prépositions, phrases simples, relatives, participes, appositions, négatives et affirmatives, voix active et passive, noms et prénoms de personnes, chiffres... Le Nouveau cours de traduction du français en chinois de Feng Baicai offre également de tres bons exemples avec son recueil de versions chinoises différentes pour un meme extráit de chef-d'oeuvre. 2.4.3.Textes scientifiques et techniques Pour la traduction des documents scientifiques et techniques, les étudiants apprennent tout d'abord qu'un profane dans une science ou une technique, meme s'il maîtrise parfaitement les deux langues, ne saura faire de la traduction dans ce domaine spécialisé. Les autres regles pour la traduction écrite sont: a.l'identification sur l'article ou l'ouvrage traduit, en collaboration avec l'éditeur, de l'article ou l'ouvrage original, de son auteur, de son édition, de sa maison d'édition et de sa date de parution; l'indication de la traduction intégrale ou partielle; b.la création de notes, de bas de page ou de fin de document, que le traducteur suppose nécessaires a la compréhension du lecteur; reproduction en note de l'original des noms propres, noms communs traduits phonétiquement, adresses, noms d'ouvrages, abréviations,... que le traducteur suppose inconnus du lecteur ou importants pour son repérage; c. l'uniformisation de la transcription phonétique d'un nom propre conformément aux conventions (telles que la transcription du nom «de Gaulle»), aux tableaux de transcription publiés par l'Agence de presse Xinhua14 et aux usages d'écriture chinois (tels qu'un point rond entre le nom et le prénom d'un étranger); d.la bonne écriture des chiffres en chinois et la bonne ponctuation; e.la correction en collaboration avec l'éditeur et l'élaboration d'errata pour les erreurs décelées apres l'impression.