Proceedings of an international conference held in Arcavacata di Rende and Rossano Calabro on December 9-11, 1994, are published in this volume (Istituto di Bibliografia Musicale Calabrese, 1999) ...edited by Maria Paola Borsetta and Annunziato Pugliese. The papers presented deal with the spread of smaller musical forms like the villanella and canzonetta; the composers who specialized in these forms, especially Gasparo Fiorino; and the social circumstances in Fiorino's home town of Rossano and in the northern Italian cities where he was active.
Rien ne prédisposait Etienne Chatton, né dans un milieu de petits paysans, à développer un goût pour les arts. Mais, dit-il, "ce sont les dieux qui règlent tout et qui vous désignent pour une ...fonction". La sienne fut Conservateur des monuments historiques du Canton de Fribourg. Mais du genre samouraï, car la bagarre était grande au temps de Vatican II. Sa devise: ne jamais restaurer une église sans exiger une création. C'est ainsi que Manessier, Castro, Anselmo et d'autres exécutèrent les splendides vitraux des églises fribourgeoises restaurées. Après vingt ans, Etienne Chatton quitte cette fonction pour entrer à la Bibliothèque Cantonale et Universitaire où il réalise un catalogue raisonné de plusieurs compositeurs fribourgeois. Toujours le souci de la conservation du patrimoine. Puis ce furent la fondation du Centre international d'Art fantastique au Château de Gruyère, la création d'un opéra rock et aujourd'hui, le projet d'ouvrir un musée de la femme. 00:00:00 – 00:00:12 (Séquence 0) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Etienne Chatton et tourné à Fribourg le 1er octobre 2002. L'interlocutrice est Mousse Boulanger. 00:00:12 – 00:01:38 (Séquence 1) : Etienne Chatton présente une sculpture de sa collection, un minotaure. Il explique que c'est une statue qui le représente. Il est né le 26 avril, dans le signe du Taureau. Le Soleil est conjoint à Vénus, ce qui n'est pas un atout pour devenir un bon curé. Il est conjoint aussi à Mercure et à la Lune, donc c'est la puissance des émotions, ce qui est favorable à un collectionneur ou à un amateur d'art. Il collectionne peu parce que ses moyens sont limités. Il aime la peinture mais il s'attache plus à la sculpture. Elle est l'expression des vertus civiques sur les places publiques. Il s'intéresse à la manière dont on expose, sur une place publique, les symboles qui font la grandeur d'un pays. 00:01:39 – 00:01:50 (Séquence 2) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Etienne Chatton et tourné à Fribourg le 1er octobre 2002. L'interlocutrice est Mousse Boulanger. 00:01:51 – 00:02:55 (Séquence 3) : Etienne Chatton explique que la peinture et la sculpture ont été pour lui une passion de tout temps. A ses six ou sept ans, pendant la guerre, il modelait des restes de pâte que sa mère lui laissait quand elle préparait le pain. La liturgie, le baroque à l'église, le curé dans sa robe en dalmatique dorée l'impressionnaient et il rêvait de devenir curé. Sa troisième passion, la plus importante, a été la littérature. Le premier jour de l'école normale, Michel Corboz lui a passé une pièce en vers de Hernani : "Je suis une force qui va, je suis un ver de terre amoureux d'une étoile." 00:02:56 – 00:04:07 (Séquence 4) : L'interlocutrice précise que, dans sa famille, il n'y avait pas une voie ouverte sur les arts. Etienne Chatton explique qu'à la maison il y avait deux voies ouvertes : sur la sexualité par un livre de médecine vétérinaire et sur l'ésotérisme par un livre sur les miracles de Lourdes. Ses parents étaient des petits paysans relativement pauvres. Ils avaient sept enfants, dont il était l'aîné. Rien ne le prédisposait à devenir ce qu'il est aujourd'hui. Il pense qu'il serait devenu un mauvais domestique de campagne. Selon lui, ce sont les dieux qui l'ont guidé. Il n'a jamais su où il allait. Il dit qu'il y a des forces qui nous destinent, il faut les laisser s'exprimer. 00:04:08 – 00:05:33 (Séquence 5) : Pour Etienne Chatton, l'entrée à l'école secondaire a été un problème. Il avait 15 ans, alors que ses camarades en avaient 12. Une tante avait songé à l’inscrire dans une école spéciale pour retardés. Etienne Chatton a finalement réussi son entrée à l'école. Il explique que les fils de paysans n'allaient pas à l'école du premier mai jusqu'au premier novembre car ils travaillaient dans les champs. De ses 12 ans à 15 ans, il n'a jamais eu d'école en été et son orthographe est restée délicate jusqu'au brevet d'enseignement. Avec Michel Corboz, ils avaient mis sur pied un système de tricherie : Michel Corboz était fort en orthographe et lui en comptabilité. Malheureusement, ils ont été placés loin l'un de l'autre, mais les dieux l'ont à nouveau aidé. 00:05:35 – 00:06:27 (Séquence 6) : Etienne Chatton a directement enseigné après l'école normale, il avait besoin de gagner sa vie. Après l'école, il partait en train écouter les cours de littérature, d'histoire et d'histoire de l'art à l'Université de Fribourg. 00:06:30 – 00:07:37 (Séquence 7) : Etienne Chatton parle des cours d'histoire de l'art. Il a commencé avec un cours sur Charlemagne et la civilisation européenne. Jusque-là, il avait été cantonné dans une vision fribourgeoise et locale. Le cours a été une ouverture sur l'Europe. Il arrivait en retard aux cours mais il en était ébloui. L'Europe s'ouvrait dans ces cours, avec le christianisme, l'architecture, les grandes idées, la résurgence de la latinité. Les cours étaient en allemand. Il réalisait que l'histoire de l'art et de la civilisation l'intéressait avant tout. 00:07:40 – 00:08:43 (Séquence 8) : Etienne Chatton explique que, parallèlement à l'université, il a suivi des cours de chant au conservatoire. C'était le grand moment d'Eric Tappy. Il a eu la chance d'avoir Juliette Bise comme professeur, qui avait enseigné à Tappy aussi. Etienne Chatton avait une bonne voix, mais il n'était pas assez musicien, et surtout il avait commencé trop tard, à 20 ans. Néanmoins, il était fasciné par l'opéra. Il cite des paroles du Don Giovanni de Mozart: "Fin ch'han dal vino calda la testa". A l'école normale, il avait eu des cours de piano et d’orgue mais le chant et la présence scénique l'intéressaient davantage. Avec Jo Baeriswyl, ancien directeur des Compagnons de Romandie, il avait joué Scapin dans "Les fourberies de Scapin". 00:08:47 – 00:10:38 (Séquence 9) : Etienne Chatton explique que les dieux l'ont guidé dans son choix. Il avait trois perspectives. Il était professeur de didactique et il aurait pu obtenir un poste à l'université. L'histoire de l'art était précieuse, elle permettait par exemple d'illustrer les fables de Lafontaine par les tableaux de Versailles. Il ne pense pas qu'il aurait pu faire une carrière de chanteur. Un professeur lui avait conseillé de devenir conservateur des Monuments historiques du canton de Fribourg : s'il n’en avait pas les qualités, il en avait du moins les défauts. Il était un "samurai", il adorait la bagarre, il ne craignait pas les coups, il avait le caractère idéal pour ce type de poste. Il aimait le patrimoine historique qui, selon lui, incarne la force d'un peuple. Ce professeur lui avait conseillé de faire une année à l'Ecole polytechnique de Zurich et ensuite une année en France. Marcel Strub a essayé de le détourner de ce projet en lui proposant un poste dans le musée qu'il dirigeait. Il a choisi de devenir conservateur. 00:10:42 – 00:11:18 (Séquence 10) : Etienne Chatton explique qu'il a commencé un doctorat en histoire de l'art. Son thème était mal choisi : les apports de la famille Englisberg du XIIe jusqu'au XVIe siècle. Il lui aurait fallu plus de connaissances en histoire de paléographie car il était confronté à des textes en allemand, en vieux français et en latin. Il a rédigé une thèse tout en travaillant à côté. Sa thèse lui a permis de se plonger complètement dans l'histoire de l'art fribourgeoise. 00:11:23 – 00:14:01 (Séquence 11) : Etienne Chatton parle de son intérêt pour le folklore. Il avait été invité en Sicile pour la fête des amandiers en fleurs, avec un groupe folklorique fribourgeois. Il a ensuite fondé la "Villanelle", un groupe de chant. Ses leçons avec Juliette Bise l'ont aidé à travailler les voix. Ses rapports avec César Joffrey et la France lui ont ouvert un autre répertoire. Mais il a vite réalisé que le folklore n'avait pas d'issue. Le canton de Fribourg a vécu sous la coupe de l'Eglise. Le seul instrument permis était l'orgue, le bal était pourchassé. Aucune autre civilisation, en dehors de l'Eglise, n'avait pu éclore. Ils jouaient des valses et des polkas de Suisse allemande mais c'était dérisoire. La seule chance du folklore était dans les costumes, bien que la beauté n'ait jamais été une valeur. Les femmes devaient être pieuses, les hommes forts. Il est fasciné par le folklore de l'Est, les bals et la musique influencés par les Tziganes. La polka ne l'a pas intéressé. 00:14:06 – 00:14:32 (Séquence 12) : Etienne Chatton parle de l'art religieux dans le canton de Fribourg. L'art religieux est somptueux surtout dans la statuaire, moins dans la peinture. D'autres formes de civilisation ont été étouffées par la religion. La pauvreté n'expliquerait pas cette absence d'autres arts, car des pays encore plus pauvres ont le goût de l'amusement. 00:14:38 – 00:16:07 (Séquence 13) : Etienne Chatton s'était promis de ne pas rester dans l'enseignement primaire. Il avait donné son congé à l'école avant d'obtenir son brevet pour le secondaire. Durant les étés de ses études, il n'avait pas pu beaucoup étudier car il a fait carrière militaire. Il n'a pas retrouvé un poste après ses études et son congé. Il lui a été offert de fonder une école à Evolène. Il était content parce que c'était une autre civilisation. Il dit venir d'une civilisation influencée par la Germanie. A Evolène, il y avait une civilisation curieuse. Il y avait un reste de civilisation de Bédouins, des Eurasiens et une civilisation alpestre dirigée par l'Eglise, plus encore que le canton de Fribourg. Son successeur à l'école a dû partir parce que l'école se voulait catholique. 00:16:14 – 00:17:14 (Séquence 14) : Etienne Chatton parle de son séjour à Evolène, une expérience superbe. Les personnes étaient très subtiles et raffinées selon lui. Le seul problème est que les habitants attendaient tout de l'école secondaire. Ils parlaient patois et pendant six mois par an ils vivaient dans les alpages. En deux ans, ils espéraient obtenir un poste de fonctionnaire à l'Etat du Valais. Il était impossible qu'ils rivalisent avec des gens qui av
Part of the documentary ensemble: RISMImp
Comprend : I - Dolce mi saría - II - Stella crudel - III - Tutte le pene sopportar - IV - Non mi date tormento - V - Va rondinella alla nemica mia - VI - Far ...potess'io vendentta - VII - Tu ridi sempre mai - VIII - Non dubitar ch'io t'abbandoni - IX - Libertà al miser core - X - Del crud' amor - XI - Misero me dolente - XII - Se'l ciel la terra - XIII - Il dolor che m'afflige - XIV - Hoime ch'io piango - XV - Tu m'hai lasciat' - XVI - Ragione è ben ch'io mi lamenti - XVII - Sappi madonna mia - XVIII - Amor sei forsi cuoco - XIX - A Cas' un giorno - XIX. IIa stanza - Vaga d'udir - XIX. IIIa stanza - Con quel poco di spirto - XIX. IVa stanza - Mentre ch'ella le piaghe
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Comprend : I - Dolce mi saría - II - Stella crudel - III - Tutte le pene sopportar - IV - Non mi date tormento - V - Va rondinella alla nemica mia - VI - Far potess'io vendentta - VII - Tu ridi sempre mai - VIII - Non dubitar ch'io t'abbandoni - IX - Libertà al miser core - X - Del crud' amor - XI - Misero me dolente - XII - Se'l ciel la terra - XIII - Il dolor che m'afflige - XIV - Hoime ch'io piango - XV - Tu m'hai lasciat' - XVI - Ragione è ben ch'io mi lamenti - XVII - Sappi madonna mia - XVIII - Amor sei forsi cuoco - XIX - A Cas' un giorno - XIX. IIa stanza - Vaga d'udir - XIX. IIIa stanza - Con quel poco di spirto - XIX. IVa stanza - Mentre ch'ella le piaghe
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Former owner: Brossard, Sebastian of (1655-1730). Former possessor. Collector
Part of the documentary ensemble: RISMImp
Part of the documentary ensemble: Brossard1
Comprend : I - Dhe, lasciati ...basciar - II - Viver non posso più - III - Chiamo la mort'haime che me ne levi - IIII - Fa pur l'amor, cor mio - V - Non voglio in donn'alcun'haver piu fede - VI - Mamma mia cara - VII - Chi vol vedere tutte le bellezze - VIII - Privo son d'ogni ben d'ogni conforto - IX - 'Sto core mio se fusse di diamante - X - Dardi d'amor son donna s'occhi tuoi - XI - Di vedoe mi vogl' inamorare - XII - Poichè pato per te tanto dolore - XIII - Che cosa'l mondo mai saria piu bella - XIIII - Donna, voi mi paret' un' angioletta - XV - Più bella set' assai, che non e'l sole - XVI - Vita mia cara, vita saporita - XVII - O Dio, che potria far a questo mondo - XVIII - Fiorite, vall'amene d'ogni dolcezza piene - XIX - Sola trovai la pastorella - XX - O faccia che rallegra'l paradiso - XXI - O faccia d'una luna rotondella - XXII - Signora, agli occhi miei sei tanto bella - XXIII - Come possio morir se non ho vita - XXIIII - Perchè mi fai languir e vita mia - XXV - Donne leggiadre che gran vogl' havete (Mascherate) - XXVI - Madonne, siam'alcune bon compagni (Mascherate) - XXVI - Venuti siam' a fine (IIe parte ; Mascherate) - XXVII - A la morte de' sorzi (Mascherate) - XXVIII - Quanto pan far volete (Mascherate) - XXIX - Ble ble ble chiel chiel (à 6 v. ; Mascherate) - XXX - D'una bella mattina me levai (à 6 v. ; Ballata)
Ancien possesseur : Brossard, Sébastien de (1655-1730). Ancien possesseur. Collectionneur
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Appartient à l’ensemble documentaire : Brossard1
Ancien possesseur : Brossard, Sébastien de (1655-1730). Ancien possesseur. Collectionneur
Comprend : I - Dhe, lasciati basciar - II - Viver non posso più - III - Chiamo la mort'haime che me ne levi - IIII - Fa pur l'amor, cor mio - V - Non voglio in donn'alcun'haver piu fede - VI - Mamma mia cara - VII - Chi vol vedere tutte le bellezze - VIII - Privo son d'ogni ben d'ogni conforto - IX - 'Sto core mio se fusse di diamante - X - Dardi d'amor son donna s'occhi tuoi - XI - Di vedoe mi vogl' inamorare - XII - Poichè pato per te tanto dolore - XIII - Che cosa'l mondo mai saria piu bella - XIIII - Donna, voi mi paret' un' angioletta - XV - Più bella set' assai, che non e'l sole - XVI - Vita mia cara, vita saporita - XVII - O Dio, che potria far a questo mondo - XVIII - Fiorite, vall'amene d'ogni dolcezza piene - XIX - Sola trovai la pastorella - XX - O faccia che rallegra'l paradiso - XXI - O faccia d'una luna rotondella - XXII - Signora, agli occhi miei sei tanto bella - XXIII - Come possio morir se non ho vita - XXIIII - Perchè mi fai languir e vita mia - XXV - Donne leggiadre che gran vogl' havete (Mascherate) - XXVI - Madonne, siam'alcune bon compagni (Mascherate) - XXVI - Venuti siam' a fine (IIe parte ; Mascherate) - XXVII - A la morte de' sorzi (Mascherate) - XXVIII - Quanto pan far volete (Mascherate) - XXIX - Ble ble ble chiel chiel (à 6 v. ; Mascherate) - XXX - D'una bella mattina me levai (à 6 v. ; Ballata)
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Appartient à l’ensemble documentaire : Brossard1
Titre uniforme : Willaert, Adrian (1490?-1562). Compositeur. O dolce vita mia
Titre uniforme : Willaert, Adrian (1490?-1562). Compositeur. O bene mio famm' uno favore
Comprend : Sempre mi ride sta ; ...La canzon di Ruzante ; Madonn'l io non lo so perche lo fai ; Cingari simo venite' a giocare ; O dolce vita mia ; Madonna mia famme bon' offerta ; Vecchie letrose non valete niente ; Un giorno mi pregò ; O Dio si vede chiaro ; A quand' avea ; O bene mio, famm' uno favore ; Buccucia dolce, chiu che canamielle ; Sospiri miei d'oime dogliorirosi ; Le vecchie per invidia sono pazze
Présentation musicale : Parties
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Uniform title: Willaert, Adrian (1490? -1562). Composer. O dolce vita mia
Uniform title: Willaert, Adrian (1490? -1562). Composer. O bene mio famm 'uno favore
Part of the documentary ensemble: RISMImp
Comprend : Sempre mi ride sta ; La canzon di Ruzante ; Madonn'l io non lo so perche lo fai ; Cingari simo venite' a giocare ; O dolce vita mia ; Madonna mia famme bon' offerta ; Vecchie letrose non valete niente ; Un giorno mi pregò ; O Dio si vede chiaro ; A quand' avea ; O bene mio, famm' uno favore ; Buccucia dolce, chiu che canamielle ; Sospiri miei d'oime dogliorirosi ; Le vecchie per invidia sono pazze
Titre uniforme : Willaert, Adrian (1490?-1562). Compositeur. O dolce vita mia
Titre uniforme : Willaert, Adrian (1490?-1562). Compositeur. O bene mio famm' uno favore
Présentation musicale : Parties
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMImp
Uniform title: Savioni, Mario (1608? -1685). Composer. Hor che pure ho potuto
Uniform title: Tenaglia, Anton Francesco (161.? -1672). Composer. Cor mio, tu ti lamenti
Uniform title: Pasqualini, Marc' ...Antonio (1614-1691). Composer. Quanto vi bacierei
Uniform title: Rossi, Luigi (1597? -1653). Suspected composer. O quante punture mi sento nel core. C 366
Uniform title: Rainaldi, Carlo (1611-1691). Composer. Pallido muto e solo
Uniform title: Fermatela ohimè fermatela
Uniform title: Pasqualini, Marc' Antonio (1614-1691). Composer. Compatitemi perché lo merito
Uniform title: Carissimi, Giacomo (1605-1674). Composer. The iron of a horn
Uniform title: Caproli, Carlo (1615? -1675?). Composer. Se morto mi volete
Uniform title: Carissimi, Giacomo (1605-1674). Composer. May non esce di servitù
Uniform title: Savioni, Mario (1608? -1685). Suspected composer. Me lo volete dit se m' amate
Uniform title: Rossi, Luigi (1597? -1653). Composer. E che pensi, mio core, con tanto dir no. C 228
Uniform title: Savioni, Mario (1608? -1685). Composer. Già his cave the catene
Uniform title: Begl“occhi si, v” intendo
Part of the documentary ensemble: RISM2
Part of the documentary ensemble: Chambure1
Part of the documentary ensemble: RISMMss
Titre uniforme : Oh questo si ch'è troppo
Titre uniforme : E che sarà di me
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur. Hor che pure ho potuto
Titre uniforme : Tenaglia, Anton Francesco (161.?-1672). Compositeur. Cor mio, tu ti lamenti
Titre uniforme : Vi spezzerete catene
Titre uniforme : Pasqualini, Marc'Antonio (1614-1691). Compositeur. Quanto vi bacierei
Titre uniforme : Liberati, Antimo (1617-1692). Compositeur. Non ve lo posso dire
Titre uniforme : Rossi, Luigi (1597?-1653). Compositeur présumé. O quante punture mi sento nel core. C 366
Titre uniforme : Rainaldi, Carlo (1611-1691). Compositeur. Pallido muto e solo
Titre uniforme : Armatevi luci fierissime
Titre uniforme : Donne io son incostante
Titre uniforme : Soffri mio cor ma taci
Titre uniforme : O mie pene se non cessate
Titre uniforme : Hai veduto come va
Titre uniforme : Fermatela ohimè fermatela
Titre uniforme : Dolorosi pensieri non mi lasciate mai
Titre uniforme : Pasqualini, Marc'Antonio (1614-1691). Compositeur. Compatitemi perché lo merito
Titre uniforme : Carissimi, Giacomo (1605-1674). Compositeur. Le ferite d'un cor
Titre uniforme : Lo confesso a voi davante
Titre uniforme : Caproli, Carlo (1615?-1675?). Compositeur. Se morto mi volete
Titre uniforme : Carissimi, Giacomo (1605-1674). Compositeur. Mai non esce di servitù
Titre uniforme : O quant'è bell'humore
Titre uniforme : Liberati, Antimo (1617-1692). Compositeur. Impari ogn'amante
Titre uniforme : Un rio superbo figlio
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur présumé. Me lo volete dire se m'amate
Titre uniforme : Rossi, Luigi (1597?-1653). Compositeur. E che pensi, mio core, con tanto dir no. C 228
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur. Già son rotte le catene
Titre uniforme : Chi si crede trovar fede
Titre uniforme : Begl'occhi si, v'intendo
Titre propre pris sur l'étiquette collée sur le plat supérieur. - Ms. endommagé (lettrines abimées). - Réunit 29 cantates de Mario Savioni, Anton Francesco Tenaglia, Marc'Antonio Pasqualini, Antimo Liberati, Luigi Rossi, Carlo Rainaldi, Giacomo Carissimi, Carlo Caproli et anonymes. - Table à la fin. - Plusieurs copistes. - F. 28 v°, 32, 43 v°, 44, 54 v°, 82, 100, 164 v°, 199 et 200 vierges. - F. 20 et 210 v° exercices d'écriture de la main d'un enfant. - Ancienne cote au contre-plat : "Rec. Mss 29 biffé N° 5". - Reliure en carton recouvert par du papier peint ; plat constitué de la page de titre de Horace Cardon, "Iusti Lipsi opera, quae velut in partes antè sparsa, nunc in certas classes digesta ; atque in gratiam & vtilitatem legentium... II tomis. Oeuvres. Ivsti Lipsi opera, quae uelut in partes antè sparsa, nunc in certas classes digesta ; atque in gratiam et utilitatem legentium. Justi Lipsi opera", Lugduni : apud Horatium Cardon, 1613. - Tranche mouchetée
Présentation musicale : Partition réduite
Appartient à l’ensemble documentaire : RISM2
Appartient à l’ensemble documentaire : Chambure1
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMMss
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur. Hor che pure ho potuto
Titre uniforme : Tenaglia, Anton Francesco (161.?-1672). Compositeur. Cor mio, tu ti lamenti
Titre uniforme : Vi spezzerete catene
Titre uniforme : Pasqualini, Marc'Antonio (1614-1691). Compositeur. Quanto vi bacierei
Titre uniforme : Liberati, Antimo (1617-1692). Compositeur. Non ve lo posso dire
Titre uniforme : Rossi, Luigi (1597?-1653). Compositeur présumé. O quante punture mi sento nel core. C 366
Titre uniforme : Rainaldi, Carlo (1611-1691). Compositeur. Pallido muto e solo
Titre uniforme : Armatevi luci fierissime
Titre uniforme : Oh questo si ch'è troppo
Titre uniforme : Donne io son incostante
Titre uniforme : Soffri mio cor ma taci
Titre uniforme : O mie pene se non cessate
Titre uniforme : Hai veduto come va
Titre uniforme : Fermatela ohimè fermatela
Titre uniforme : Dolorosi pensieri non mi lasciate mai
Titre uniforme : Pasqualini, Marc'Antonio (1614-1691). Compositeur. Compatitemi perché lo merito
Titre uniforme : Carissimi, Giacomo (1605-1674). Compositeur. Le ferite d'un cor
Titre uniforme : Lo confesso a voi davante
Titre uniforme : E che sarà di me
Titre uniforme : Caproli, Carlo (1615?-1675?). Compositeur. Se morto mi volete
Titre uniforme : Carissimi, Giacomo (1605-1674). Compositeur. Mai non esce di servitù
Titre uniforme : O quant'è bell'humore
Titre uniforme : Liberati, Antimo (1617-1692). Compositeur. Impari ogn'amante
Titre uniforme : Un rio superbo figlio
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur présumé. Me lo volete dire se m'amate
Titre uniforme : Rossi, Luigi (1597?-1653). Compositeur. E che pensi, mio core, con tanto dir no. C 228
Titre uniforme : Savioni, Mario (1608?-1685). Compositeur. Già son rotte le catene
Titre uniforme : Chi si crede trovar fede
Titre uniforme : Begl'occhi si, v'intendo
Comprend : Sig.r Tanaglia ; Sig.r Marc'Ant.o // Pasqual.no ; Sig.r // Antimo ; Luigi ; S. Marc'Ant.o // Pasqualino ; Sig.r Carlo // Caproli ; Sig.r // Antimo ; Sig.r Mario // Savioni
Titre propre pris sur l'étiquette collée sur le plat supérieur. - Ms. endommagé (lettrines abimées). - Réunit 29 cantates de Mario Savioni, Anton Francesco Tenaglia, Marc'Antonio Pasqualini, Antimo Liberati, Luigi Rossi, Carlo Rainaldi, Giacomo Carissimi, Carlo Caproli et anonymes. - Table à la fin. - Plusieurs copistes. - F. 28 v°, 32, 43 v°, 44, 54 v°, 82, 100, 164 v°, 199 et 200 vierges. - F. 20 et 210 v° exercices d'écriture de la main d'un enfant. - Ancienne cote au contre-plat : "Rec. Mss 29 biffé N° 5". - Reliure en carton recouvert par du papier peint ; plat constitué de la page de titre de Horace Cardon, "Iusti Lipsi opera, quae velut in partes antè sparsa, nunc in certas classes digesta ; atque in gratiam & vtilitatem legentium... II tomis. Oeuvres. Ivsti Lipsi opera, quae uelut in partes antè sparsa, nunc in certas classes digesta ; atque in gratiam et utilitatem legentium. Justi Lipsi opera", Lugduni : apud Horatium Cardon, 1613. - Tranche mouchetée
Présentation musicale : Partition réduite
Appartient à l’ensemble documentaire : RISM2
Appartient à l’ensemble documentaire : Chambure1
Appartient à l’ensemble documentaire : RISMMss