Objective To confirm that a single water‐surface sweep‐net collection coupled with three calibration factors (2.6, 3.0 and 3.5 for 1/3, 2/3 and 3/3 water levels, respectively) (WSCF) could accurately estimate very low to high Aedes aegypti pupae numbers in water containers more rapidly than the exhaustive 5‐sweep and total count (ESTC) method recommended by WHO. Methods Both methods were compared in semi‐field trials using low (n = 25) to moderate (n = 50–100) pupae numbers in a 250‐l drum at 1/3, 2/3 and 3/3 water levels, and by their mean‐time determinations using 200 pupae in three 220‐ to 1024‐l water containers at these water levels. Accuracy was further assessed using 69.1% (393/569) of the field‐based drums and tanks which contained <100 pupae. Results The WSCF method accurately estimated total populations in the semi‐field trials up to 13.0 times faster than the ESTC method (all P < 0.001); no significant differences (all P‐values ≥ 0.05) were obtained between the methods for very low (n = 4) to low–moderate (n = 25–100) and high (n > 100) pupae numbers/container and without sediment disturbance. Conclusion The simple WSCF method sensitively, accurately and robustly estimated total pupae numbers in their principal breeding sites worldwide, containers with >20 l water volumes, significantly (2.7‐ to 13.0‐fold: all P‐values <0.001) faster than the ESTC method for very low to high pupae numbers/container without contaminating the clean water by sediment disturbance which is generated using the WHO‐recommended ESTC method. The WSCF method seems ideal for global community‐based surveillance and control programmes. Objectif Confirmer qu'une collecte unique par balayage de la surface de l'eau à l'aide d'un tamis, couplé à trois facteurs d’étalonnage (WSCF): 2,6; 3,0 et 3,5 pour les niveaux de remplissage d'eau de 1/3, 2/3 et 3/3, respectivement, peut permettre d'estimer avec précision des nombres très faibles à élevés de pupes d’Aedes aegypti dans des récipients d'eau, plus rapidement que la méthode de balayage exhaustif de 5 balayages et de comptage total (ESTC) recommandée par l’OMS. Méthodes Les deux méthodes ont été comparées dans des essais semi‐terrain en utilisant un nombre faible (n = 25) à modérée (n = 50 à 100) de pupes dans un tonneau de 250 litres à des niveaux de remplissage d'eau de 1/3, 2/3 et 3/3; et par leurs temps moyens de détermination en utilisant 200 pupes dans trois conteneurs d'eau de 220 à 1024 litres à ces niveaux de remplissage d'eau. La précision a en outre été évaluée en utilisant 69,1% (393/569) des tonneaux et des récipients testés sur le terrain qui contenaient moins de 100 pupes. Résultats La méthode WSCF a estimé avec précision les populations totales dans les essais semi‐terrain jusqu’à 13,0 fois plus rapidement que la méthode ESTC (toutes les valeurs p <0,001); aucune différence significative (toutes les valeurs p> 0,05) n'a été observée entre les méthodes pour les nombres très faibles (n = 4) à faiblement modérés (n = 25 à 100) et élevés (n > 100) de pupes par récipient et sans la perturbation des sédiments. Conclusion La méthode WSCF simple a permis une estimation sensible, précise et robuste du nombre total de pupes dans leurs principaux sites de reproduction à travers le monde, les conteneurs avec des volumes d'eau > 20 litres, plus rapidement de façon significative (de 2,7 à 13,0 fois: toutes les valeurs p <0,001) que la méthode ESTC pour des nombres très faibles à élevés de pupes par conteneur sans contaminer l'eau potable par la perturbation des sédiments générée avec l'utilisation de la méthode ESTC recommandée par l’OMS. La méthode WSCF semble idéale pour les programmes de surveillance et de lutte communautaires à travers le monde. Objetivo Confirmar que una única recolección con red mediante barrido rápido sobre la superficie del agua combinado con tres factores de calibración (2.6, 3.0 y 3.5 para niveles de agua 1/3, 2/3 y 3/3 respectivamente) (BRFC) pueden servir para calcular de forma precisa desde números muy bajos hasta números muy altos de pupas de Aedes aegypti en contenedores de agua, de forma más rápida que el método de barrido exhaustivo y conteo total (BRCT) recomendado por la OMS. Métodos Ambos métodos se compararon en ensayos bajo condiciones de semicampo, utilizando números de pupas bajos (n= 25) a moderados (n= 50‐100), en un contenedores de 250‐litros con niveles de agua de 1/3, 2/3 y 3/3; y por las determinaciones de tiempo medio utilizando 200 pupas en tres contenedores de agua de 220‐1024‐litros con los mismos niveles de agua. La precisión se evaluó utilizando un 69.1% (393/569) de los contenedores localizados en el campo y de los tanques que contenían <100 pupas. Resultados El método BRFC calculaba de forma precisa la población total en ensayos bajo condiciones de semicampo y con una velocidad de hasta 13.0 veces mayor que el método BRCT (p <0.001); no se obtuvieron diferencias significativas (todos los valores p ≥0.05) entre los métodos para números de pupa/contenedor muy bajos (n= 4) a bajos‐moderados (n= 25‐100) y altos (n>100) y sin perturbación de sedimentos. Conclusión El método simple de BRFC calculó de forma sensible, precisa y robusta el número total de pupas en los que son su principal lugar de reproducción a nivel mundial, contenedores con un volumen de agua >20 litros, significativamente más rápido (2.7‐13.0 veces: todos los valores p <0.001) que el método BRCT para números de pupa/contenedor desde muy bajos hasta altos y sin contaminar el agua limpia por perturbación de sedimentos, que se genera utilizando el método BRCT recomendado por la OMS. El método BRFC parece ideal para la vigilancia comunitaria y programas de control a nivel global.