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  • Interagency collaboration b...
    Darlington, Yvonne; Feeney, Judith A.; Rixon, Kylie

    Child abuse & neglect, 10/2005, Letnik: 29, Številka: 10
    Journal Article

    The aim of this paper is to examine some of the factors that facilitate and hinder interagency collaboration between child protection services and mental health services in cases where there is a parent with a mental illness and there are protection concerns for the child(ren). The paper reports on agency practices, worker attitudes and experiences, and barriers to effective collaboration. A self-administered, cross-sectional survey was developed and distributed via direct mail or via line supervisors to workers in statutory child protection services, adult mental health services, child and youth mental health services, and Suspected Child Abuse and Neglect (SCAN) Teams. There were 232 completed questionnaires returned, with an overall response rate of 21%. Thirty-eight percent of respondents were statutory child protection workers, 39% were adult mental health workers, 16% were child and youth mental health workers, and 4% were SCAN Team medical officers (with 3% missing data). Analysis revealed that workers were engaging in a moderate amount of interagency contact, but that they were unhappy with the support provided by their agency. Principle components analysis and multivariate analysis of variance (MANOVA) on items assessing attitudes toward other workers identified four factors, which differed in rates of endorsement: inadequate training, positive regard for child protection workers, positive regard for mental health workers, and mutual mistrust (from highest to lowest level of endorsement). The same procedure identified the relative endorsement of five factors extracted from items about potential barriers: inadequate resources, confidentiality, gaps in interagency processes, unrealistic expectations, and professional knowledge domains and boundaries. Mental health and child protection professionals believe that collaborative practice is necessary; however, their efforts are hindered by a lack of supportive structures and practices at the organizational level. Le but de cet article est d’examiner quelques uns des facteurs qui facilitent ou génent la collaboration interadministrative entre les services de protection infantile et les services de santé mentale dans des cas où il existe un parent malade mental et la nécessité de protection à l’égard d’enfants. L’article décrit les pratiques des services, les comportements et les expériences des personnels, ainsi que les obstacles à une collaboration effective. Une étude représentative auto-gérée a été mise en route et distribuée par courrier direct ou par des superviseurs en ligne à des travailleurs de services spécialisés en protection infantile, des services de santé mentale adulte, des services de santé mentale pour enfants et adolescents, et des équipes spécialisées dans les suspicions de maltraitance et de négligence grave à l’égard d’enfants. 232 questionnaires remplis ont été obtenus, avec un taux global de réponses de 21%. Trente-huit pour cent des répondants étaient des travailleurs spécialisés en protection infantile, 39% des travailleurs en santé mentale adulte, 16% en santé mentale pour enfants et adolescents, 4% des médecins d’equipes spécialisées dans les suspicions de maltraitance ou de négligence grave à l’égard d’enfants (3% d’observations manquantes). L’analyse a montré que les travailleurs avaient un niveau modéré de contacts interadministration mais qu’ils étaient mécontents de l’aide fournie par leur propre administration. L’analyse des composants et le MANOVA (analyse multivariée de variance) sur les thèmes témoignant des attitudes à l’égard des autres travailleurs ont mis en évidence quatre facteurs différents d’appréciation: formation inadéquate, reconnaissance positive à l’égard des travailleurs en protection infantile, reconnaissance positive à l’égard des travailleurs en santé mentale, méfiance mutuelle (en allant du plus haut au plus bas niveau d’appréciation). La même procédure a montré le niveau relatif d’appréciation sur cinq points portant sur les obstacles potentiels: des moyens inadéquats, la confidentialité, des dysfonctionnements interadministration, des attentes irréalistes, les domaines et les limites de connaissance professionnelle. Les professionnels en santé mentale et en protection infantile croient qu’une collaboration est nécessaire; cependant leurs efforts sont contrariés par un manque de structures d’aide et les pratiques au niveau organisationnel. Spanish-language abstract not available at the time of publication.