Risk prediction scores have been developed to predict survival following heart transplantation (HT). Our objective was to systematically review the model characteristics and performance for all ...available scores that predict survival after HT. Ovid Medline and Epub Ahead of Print and In‐Process & Other Non‐Indexed Citations, Ovid Embase, Cochrane Database of Systematic Reviews, and Cochrane Central Register of Controlled Clinical Trials were searched to December 2018. Eligible articles reported a score to predict mortality following HT. Of the 5392 studies screened, 21 studies were included that derived and/or validated 16 scores. Seven (44%) scores were validated in external cohorts and 8 (50%) assessed model performance. Overall model discrimination ranged from poor to moderate (C‐statistic/area under the receiver operating characteristics 0.54‐0.77). The IMPACT score was the most widely validated, was well calibrated in two large registries, and was best at discriminating 3‐month survival (C‐statistic 0.76). Most scores did not perform particularly well in any cohort in which they were assessed. This review shows that there are insufficient data to recommend the use of one model over the others for prediction of post‐HT outcomes.
In this systematic review of 16 scores that predict mortality after heart transplantation, Aleksova et al find that the IMPACT score may be useful for predicting short‐term outcomes only, but do not identify a score that performs well enough to be recommended for widespread use
As patients with advanced heart failure are living longer, defining the impact of left ventricular assist devices (LVADs) on outcomes in an aging population is of great importance. We describe ...overall survival, rates of adverse events (AEs), and post-AE survival in patients age ≥ 70 years vs age 50-69 years after destination-therapy (DT) LVAD implantation.
A retrospective analysis was conducted with the use of the International Society for Heart and Lung Transplantation Mechanically Assisted Circulatory Support (IMACS) registry. All adults age ≥ 50 years with a continuous-flow DT LVAD from 2013 to 2017 were included. The primary outcome was all-cause mortality. The secondary outcomes were the incidence of and survival after gastrointestinal (GI) bleeding, infection, stroke, pump thrombosis, pump exchange, and right-side heart failure. Mortality and AEs were assessed with the use of competing risk models.
At total of 5,572 patients were included: 3,700 aged 50-69 and 1,872 aged ≥ 70. All-cause mortality by 42 months was 55.8% in patients aged ≥ 70 and 44.8% in patients aged 50-69 (P = 0.001). Patients aged ≥ 70 had a 37.8% higher risk of death after DT LVAD implantation (hazard ratio 1.378, 95% CI 1.251-1.517). Patients aged ≥ 70 had higher risk of GI bleeding but lower risk of right-side heart failure. There was no difference between age groups for risk of infection or stroke. Experiencing any AE was associated with an increased risk of death that did not vary with age.
Patients aged ≥ 70 years have reduced survival after DT LVAD, in part because of increased GI bleeding, while the incidence of other AEs is similar to that of patients aged 50-69 years. Careful patient selection beyond age alone may allow for optimal outcomes after DT LVAD implantation.
Comme les patients atteints d’insuffisance cardiaque avancée vivent plus longtemps, il est d’autant plus important de définir les répercussions des dispositifs d’assistance ventriculaire gauche (DAVG) sur les résultats au sein d’une population vieillissante. Nous décrivons la survie globale, les taux d’événements indésirables (ÉI) et la survie post-ÉI des patients âgés de ≥ 70 ans vs les patients âgés de 50 à 69 ans après l’implantation permanente (IP) du DAVG.
Nous avons réalisé une analyse rétrospective à l’aide du registre de l’International Society for Heart and Lung Transplantation Mechanically Assisted Circulatory Support (IMACS). Nous avons inclus tous les adultes âgés ≥ 50 ans qui ont eu une IP du DAVG à débit continu de 2013 à 2017. Le critère d’évaluation principal était la mortalité toutes causes confondues. Les critères secondaires étaient le nombre de cas et la survie après l’hémorragie gastro-intestinale (GI), l’infection, l’accident vasculaire cérébral, la thrombose de la pompe, le changement de pompe et l’insuffisance cardiaque droite. Nous avons évalué la mortalité et les ÉI à l’aide des modèles de risques concurrents.
Au total, nous avons inclus 5 572 patients, soit 3 700 patients âgés de 50 à 69 ans et 1 872 patients âgés de ≥ 70 ans. La mortalité toutes causes confondues en 42 mois était de 55,8 % chez les patients de ≥ 70 ans et de 44,8 % chez les patients de 50 à 69 ans (P = 0,001). Les patients de ≥ 70 ans avaient un risque plus élevé de 37,8 % de décès après l’IP du DAVG (rapport de risque 1,378, IC à 95 % 1,251-1,517). Les patients de ≥ 70 ans avaient un risque plus élevé d’hémorragie GI, mais un risque plus faible d’insuffisance cardiaque droite. Le risque d’infection ou d’accident vasculaire cérébral ne montrait aucune différence entre les groupes d’âge. Le risque accru de décès qui était associé aux ÉI ne variait pas en fonction de l’âge.
Les patients de ≥ 70 ans ont montré une diminution de la survie après l’IP du DAVG, en partie en raison de l’augmentation du risque d’hémorragie GI, alors que le nombre d’autres ÉI était semblable au nombre des ÉI des patients de 50 à 69 ans. Outre l’âge, la sélection rigoureuse des patients peut contribuer à obtenir des résultats optimaux après l’IP du DAVG.
Magnetically Levitated Cardiac Pump at 2 Years Moayedi, Yasbanoo; Duero Posada, Juan G; Rao, Vivek
The New England journal of medicine,
08/2018, Letnik:
379, Številka:
9
Journal Article
Previous evidence suggests that cardiologists and family doctors have limited accuracy in predicting patient prognosis. Predictive models with satisfactory accuracy for estimating mortality in ...patients with heart failure (HF) exist; physicians, however, seldom use these models. We evaluated the relative accuracy of physician vs model prediction to estimate 1-year survival in ambulatory patients with HF.
We conducted a single-centre cross-sectional study involving 150 consecutive ambulatory patients with HF >18 years of age with a left ventricular ejection fraction ≤40%. Each patient’s cardiologist and family doctor provided their predicted 1-year survival, and predicted survival scores were calculated using 3 models: HF Meta-Score, Seattle Heart Failure Model (SHFM), and Meta-Analysis Global Group in Chronic HF (MAGGIC) score. We compared accuracy between physician and model predictions using intraclass correlation (ICC).
Median predicted survival by HF cardiologists was lower (median 80%, interquartile range IQR: 61%-90%) than that predicted by family physicians (median 90%, IQR 70%-99%, P = 0.08). One-year median survival calculated by the HF Meta-Score (94.6%), SHFM (95.4%), and MAGGIC (88.9%,) proved as high or higher than physician estimates. Agreement among HF cardiologists (ICC 0.28-0.41) and family physicians (ICC 0.43-0.47) when compared with 1-year model-predicted survival scores proved limited, whereas the 3 models agreed well (ICC > 0.65).
HF cardiologists underestimated survival in comparison with family physicians, whereas both physician estimates were lower than calculated model estimates. Our results provide additional evidence of potential inaccuracy of physician survival predictions in ambulatory patients with HF. These results should be validated in longitudinal studies collecting actual survival.
Les données issues d’études antérieures indiquent que le pronostic établi par les cardiologues et les médecins de famille est rarement précis. Il existe des modèles prédictifs d’une précision satisfaisante pour estimer la mortalité chez les patients présentant une insuffisance cardiaque (IC), mais rares sont les médecins qui les utilisent. Nous avons comparé la précision relative des prédictions faites par les médecins à celles obtenues à l’aide de modèles à l’égard de l’estimation de la survie à 1 an chez des patients ambulatoires présentant une IC.
Nous avons mené une étude transversale unicentrique sur les cas de 150 patients ambulatoires consécutifs âgés de > 18 ans présentant une IC et une fraction d’éjection ventriculaire gauche ≤ 40 %. Le cardiologue et le médecin de famille de chacun des patients ont évalué la survie à 1 an, et nous avons calculé les scores de survie prédite à l'aide de 3 modèles : HF Meta-Score, SHFM (Seattle Heart Failure Model) et MAGGIC (Meta-Analysis Global Group in Chronic HF). Nous avons ensuite comparé la précision des prédictions des médecins avec celle des prédictions des modèles en calculant la corrélation intraclasse (CIC).
La survie médiane prédite par les cardiologues spécialisés en IC était inférieure (médiane de 80 %, intervalle interquartile IIQ : de 61 % à 90 %) à celle prédite par les médecins de famille (médiane de 90 %, IIQ : de 70 % à 99 %, p = 0,08). La survie médiane à 1 an calculée au moyen des modèles HF Meta-Score (94,6 %), SHFM (95,4 %) et MAGGIC (88,9 %) était équivalente ou supérieure aux estimations des médecins. La concordance entre les prédictions des cardiologues spécialisés en IC (CIC : de 0,28 à 0,41) et des médecins de famille (CIC : de 0,43 à 0,47) et les scores de survie à 1 an prédits par les modèles était faible, tandis que les prédictions des trois modèles concordaient bien (CIC > 0,65).
Les cardiologues spécialisés en IC ont sous-estimé la survie par rapport aux médecins de famille, tandis que les deux groupes de médecins ont fait des prédictions inférieures à celles des modèles. Les résultats de l'étude fournissent des preuves supplémentaires de l'inexactitude potentielle des prédictions de la survie faites par les médecins chez les patients ambulatoires présentant une IC. Il conviendrait de valider ces résultats au moyen d'études longitudinales comportant des données sur la survie réelle.
Frailty assessment has become an integral part of the evaluation of potential candidates for heart transplantation and ventricular assist device (HTx/VAD). The impact of frailty, as a heart failure ...risk factor or to identify those who will derive the greatest benefit with HTx/VAD remains unclear. The aim of this study was to evaluate the independent prognostic relevance of frailty assessment from peak oxygen consumption (peak VO2) or B‐type natriuretic peptide (BNP) on mortality in patients referred for advanced heart failure therapies. Frailty was measured using modified Fried frailty criteria. In 201 consecutive patients, during a median follow‐up of 17.5 months (IQR 11‐29.2), there were 25 (12.4%) deaths. One‐year survival was 100%, 94%, and 78% in nonfrail, prefrail, and frail patients, respectively (log rank P = .0001). Frailty was associated with a twofold increase risk of death (HR 2.01, P < .0001, 95% CI 1.42‐2.84). When adjusted for BNP or peak VO2, frailty was not associated with a significant risk of all‐cause death. However, when peak VO2 is stratified into two categories (≥12 mL/kg/min vs <12 mL/kg/min), frailty was associated with increased mortality in patients with a lower peak VO2 (HR 1.72, P = .006).
Gene expression profiling (GEP) was developed for non-invasive surveillance of acute cellular rejection. Despite its widespread use, there has been a paucity in outcome data for patients managed with ...GEP outside of clinical trials.
The Outcomes AlloMap Registry (OAR) is an observational, prospective, multicenter study including patients aged ≥ 15 years and ≥ 55 days post-cardiac transplant. Primary outcome was death and a composite outcome of hemodynamically significant rejection, graft dysfunction, retransplantation, or death. Secondary outcomes included readmission rates and development of coronary allograft vasculopathy and malignancies.
The study included 1,504 patients, who were predominantly Caucasian (69%), male (74%), and aged 54.1 ± 12.9 years. The prevalence of moderate to severe acute cellular rejection (≥2R) was 2.0% from 2 to 6 months and 2.2% after 6 months. In the OAR there was no association between higher GEP scores and coronary allograft vasculopathy (p = 0.25), cancer (p = 0.16), or non-cytomegalovirus infection (p = 0.10). Survival at 1, 2, and 5 years post-transplant was 99%, 98%, and 94%, respectively. The composite outcome occurred in 103 patients during the follow-up period. GEP scores in dual-organ recipients (heart-kidney and heart-liver) were comparable to heart-alone recipients.
This registry comprises the largest contemporary cohort of patients undergoing GEP for surveillance. Among patients selected for GEP surveillance, survival is excellent, and rates of acute rejection, graft dysfunction, readmission, and death are low.
Background
While it is well known that heart failure patients presenting to the emergency room (ER) have high short‐term mortality after discharge, the outcomes of patients with heart failure with ...repeated ER visits within a short time are not known. In this study, we aimed to determine whether clustering is associated with an increased risk of death.
Methods and Results
This is a retrospective, population‐based cohort study with an accrual window between 2003 and 2014 and maximal follow‐up up to and including March 31, 2015. Data were obtained from administrative databases from Ontario, Canada. Clustering was defined a priori as 3 or more ER visits within a 6‐month period. The main outcome of interest was time to death conditional on 6‐month survival. A total of 72 810 patients with an index hospitalization for acute heart failure were evaluated. ER clustering was observed in 15.1% of the population. Increased burden of comorbidities, primary rural residence, and lack of primary care provider were identified as factors associated with ER clustering. Age‐ and sex‐adjusted mortality for clustered patients was higher than for nonclustered (hazard ratio HR 1.51; 95% confidence interval, 1.47–1.55, P<0.0001). Adjusted mortality risk was also higher for patients with clustered ER visits (HR 1.42; 95% confidence interval 1.38–1.46; P<0.0001).
Conclusions
Clustering, as defined by 3 or more ER visits for any reason within 6 months of index heart failure hospitalization reflects a novel risk factor associated with increased mortality. Future research into the strategies to better manage complex patients with heart failure with recurrent ER visits are warranted.
The COVID-19 pandemic has reduced access to endomyocardial biopsy (EMB) rejection surveillance in heart transplant (HT) recipients. This study is the first in Canada to assess the role for ...noninvasive rejection surveillance in personalizing titration of immunosuppression and patient satisfaction post-HT.
In this mixed-methods prospective cohort study, adult HT recipients more than 6 months from HT had their routine EMBs replaced by noninvasive rejection surveillance with gene expression profiling (GEP) and donor-derived cell-free DNA (dd-cfDNA) testing. Demographics, outcomes of noninvasive surveillance score, hospital admissions, patient satisfaction, and health status on the medical outcomes study 12-item short-form health survey (SF-12) were collected and analyzed, using t tests and χ2 tests. Thematic qualitative analysis was performed for open-ended responses.
Among 90 patients, 31 (33%) were enrolled. A total of 36 combined GEP/dd-cfDNA tests were performed; 22 (61%) had negative results for both, 10 (27%) had positive GEP/negative dd-cfDNA results, 4 (11%) had negative GEP/positive dd-cfDNA results, and 0 were positive on both. All patients with a positive dd-cfDNA result (range: 0.19%-0.81%) underwent EMB with no significant cellular or antibody-mediated rejection. A total of 15 cases (42%) had immunosuppression reduction, and this increased to 55% in patients with negative concordant testing. Overall, patients’ reported satisfaction was 90%, and on thematic analysis they were more satisfied, with less anxiety, during the noninvasive testing experience.
Noninvasive rejection surveillance was associated with the ability to lower immunosuppression, increase satisfaction, and reduce anxiety in HT recipients, minimizing exposure for patients and providers during a global pandemic.
La pandémie de COVID-19 a réduit l’accès à la biopsie endomyocardique pour surveiller le risque de rejet après une greffe du cœur. Cette étude est la première à être menée au Canada pour évaluer le rôle de la surveillance non invasive du risque de rejet en personnalisant le titrage de l’immunosuppression et la satisfaction du patient après la greffe cardiaque.
Dans le cadre de cette étude de cohorte prospective à méthodes mixtes, des adultes ayant reçu une greffe cardiaque depuis plus de six mois ont vu leurs biopsies endomyocardiques régulières remplacées par une surveillance non invasive du risque de rejet qui consiste à établir le profil de l’expression génique et à analyser l’ADN acellulaire dérivé du donneur. Les données démographiques, les résultats du score de surveillance non invasive, les admissions à l’hôpital, la satisfaction des patients et l’état de santé tirés du questionnaire SF-12 (questionnaire abrégé sur la santé comprenant 12 items) de l’étude sur les issues médicales ont été colligés et analysés au moyen des tests T et des tests χ2. Les réponses ouvertes ont fait l’objet d’une analyse qualitative thématique.
Parmi 90 patients, 31 (33 %) ont été recrutés. Au total, 36 tests combinés de profilages de l’expression génique et d’ADN acellulaire dérivé du donneur ont été réalisés; les résultats ont été négatifs pour les deux tests dans 22 cas (61 %), positifs pour le profilage de l’expression génique et négatifs pour l’ADN acellulaire dans 10 cas (27 %), négatifs pour le profilage de l’expression génique et positifs pour l’ADN acellulaire dans quatre cas (11 %) et aucun cas n’a donné de résultats positifs pour les deux types de tests. Tous les patients qui ont donné des résultats positifs à l’analyse de l’ADN acellulaire dérivé du donneur (fourchette : 0,19 % à 0,81 %) ont subi une biopsie endomyocardique n’ayant révélé aucun rejet cellulaire ou à médiation par anticorps important. Au total, 15 cas (42 %) affichaient une immunosuppression réduite, proportion qui a grimpé à 55 % chez les patients dont les tests de concordance ont donné des résultats négatifs. Dans l’ensemble, le niveau de satisfaction rapporté par les patients était de 90 % et, à l’analyse thématique, ils étaient plus satisfaits et moins anxieux pendant les tests non invasifs.
La surveillance non invasive du risque de rejet a été associée à la capacité de diminuer l’immunosuppression, d’augmenter la satisfaction et de réduire l’anxiété chez les patients qui ont reçu une greffe cardiaque, en plus de réduire l’exposition des patients et du personnel médical dans le contexte d’une pandémie.
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