DEXi-type models have been used recently to assess specific problems in agricultural systems and to assess cropping-system scenarios. Finding the set of the ‘‘worst-best’’ (lowest scores for basic ...attributes that lead to the highest score for the root attribute) and ‘‘best-worst’’ (highest scores for basic attributes that lead to the lowest score for the root attribute) options are of interest for improving current cropping systems. As DEXi-type models revealed a monotonicity property, we used a genetic algorithm to find these two sets. These sets are small and show that only a few attributes need to have low scores to reach the best-worst options or high scores to reach the worst-best options. These attributes are those with ahigh sensitivity index.
Farm tourism shows a structure different from agriculture, forestry, and fishery; farm tourism is expanding, labour intensive, generates an influx of money, and maintains the service base in the ...region. Farm tourism is one of the most important supplementary activities and generates onsiderable secondary income. This paper presents the developed methodology that will enable the ranking of tourist farms based on their service quality. This is accomplished through the use of the expert system based on the DEXi decision-making method. Using DEXi, the multi-criteria decision model for the assessment of farm tourism's service quality was developed. The model was applied in practice on 7 vacation farms. The data from thequestionnaires completed by farm guests and hosts was used as input data in the multiattribute model and as an arbitrary estimation for the farm. The results of the model are shown as the assessments for individual farms. Out of seven chosen farms, four achieved the best possible estimation. Two of them achieved middle estimation. For the last tourist farm, where a data deficit was present, the model showed two final possible estimations (very good or good and bad - depends on value of missing attributes).
We identified nearly 200 species of bees in the workshop area of Val de Sèvre in Poitou-Charentes. Wild bees collect their diet from wild plants present in the prairies, the edges of roads and ...fields. Between flowering rapeseed and sunflowers, bees focus on rare flower surfaces. Pollen resources are not sufficiently abundant to maintain the size of populations at their peak and the sustainability of the apiculture activities. In the cereal plain, the honey bee and beekeeping depend today on two crops, rapeseed and sunflower, including nectar and pollen which can be furthermore contaminated with pesticides. Agro-ecological measures for bees are to reduce the use of pesticides to ensure the quality of these food resources, while regulating the intake of nectar and pollen in time.The cultivation of plants, such as alfalfa or other legumes, installed more permanently in agricultural systems, presents the triple advantage to be suitable for many species of bees, to require little fertilizer and pesticides, and to allow production of fodder or seeds. Our proposals are to diversify the rotation of crops by farmers and to form a flower network in the landscape in which the quality of nectar and pollen supply must be protected by suitable farming practices (pesticide use reduction, late mowing). The proposed measures induce a reduction in the economic margin for the farmer compared to current technical managements.
Nous avons recensé près de 200 espèces d'abeilles dans la zone atelier Plaine et Val de Sèvre en Poitou-Charentes. Les abeilles sauvages tirent leur alimentation des plantes sauvages présentes dans les prairies, les bordures de routes et de champs. Entre la floraison du colza et du tournesol, les abeilles mellifères se concentrent sur de rares surfaces en fleurs. Les ressources en pollen sont alors insuffisamment abondantes pour maintenir la taille des populations à leur pic et assurer la durabilité des activités apicoles. Dans la plaine céréalière, l'abeille mellifère et l'apiculture sont aujourd'hui tributaires des deux cultures oléagineuses, colza et tournesol, dont le nectar et le pollen peuvent être de surcroît contaminés par des pesticides. Les mesures agro-écologiques en faveur des abeilles consistent à réduire l'usage des pesticides pour assurer la qualité de ces ressources alimentaires, tout en régularisant l'apport en nectar et en pollen dans le temps. La culture de plantes, telles que la luzerne ou d'autres légumineuses, installées plus durablement dans les systèmes agricoles, présente le triple avantage de convenir à de nombreuses espèces d'abeilles, de nécessiter peu de fertilisants et de pesticides, et de permettre une commercialisation de fourrages ou de graines. Nos propositions consistent à diversifier la rotation des cultures des agriculteurs et à constituer un maillage fleuri dans le paysage dont la qualité de l'offre en nectar et pollen doit être protégée par des pratiques agricoles adaptées (réduction de l'usage de pesticides, fauches tardives). Les mesures proposées induisent une réduction de la marge économique chez l'agriculteur comparée à celle des itinéraires techniques actuels.
We identified nearly 200 species of bees in the workshop area of Val de Sèvre in Poitou-Charentes. Wild bees collect their diet from wild plants present in the prairies, the edges of roads and ...fields. Between flowering rapeseed and sunflowers, bees focus on rare flower surfaces. Pollen resources are not sufficiently abundant to maintain the size of populations at their peak and the sustainability of the apiculture activities. In the cereal plain, the honey bee and beekeeping depend today on two crops, rapeseed and sunflower, including nectar and pollen which can be furthermore contaminated with pesticides. Agro-ecological measures for bees are to reduce the use of pesticides to ensure the quality of these food resources, while regulating the intake of nectar and pollen in time.The cultivation of plants, such as alfalfa or other legumes, installed more permanently in agricultural systems, presents the triple advantage to be suitable for many species of bees, to require little fertilizer and pesticides, and to allow production of fodder or seeds. Our proposals are to diversify the rotation of crops by farmers and to form a flower network in the landscape in which the quality of nectar and pollen supply must be protected by suitable farming practices (pesticide use reduction, late mowing). The proposed measures induce a reduction in the economic margin for the farmer compared to current technical managements.
Nous avons recensé près de 200 espèces d'abeilles dans la zone atelier Plaine et Val de Sèvre en Poitou-Charentes. Les abeilles sauvages tirent leur alimentation des plantes sauvages présentes dans les prairies, les bordures de routes et de champs. Entre la floraison du colza et du tournesol, les abeilles mellifères se concentrent sur de rares surfaces en fleurs. Les ressources en pollen sont alors insuffisamment abondantes pour maintenir la taille des populations à leur pic et assurer la durabilité des activités apicoles. Dans la plaine céréalière, l'abeille mellifère et l'apiculture sont aujourd'hui tributaires des deux cultures oléagineuses, colza et tournesol, dont le nectar et le pollen peuvent être de surcroît contaminés par des pesticides. Les mesures agro-écologiques en faveur des abeilles consistent à réduire l'usage des pesticides pour assurer la qualité de ces ressources alimentaires, tout en régularisant l'apport en nectar et en pollen dans le temps. La culture de plantes, telles que la luzerne ou d'autres légumineuses, installées plus durablement dans les systèmes agricoles, présente le triple avantage de convenir à de nombreuses espèces d'abeilles, de nécessiter peu de fertilisants et de pesticides, et de permettre une commercialisation de fourrages ou de graines. Nos propositions consistent à diversifier la rotation des cultures des agriculteurs et à constituer un maillage fleuri dans le paysage dont la qualité de l'offre en nectar et pollen doit être protégée par des pratiques agricoles adaptées (réduction de l'usage de pesticides, fauches tardives). Les mesures proposées induisent une réduction de la marge économique chez l'agriculteur comparée à celle des itinéraires techniques actuels.
本論文嘗試展開對張愛玲英文遺囑的細讀,以期啟動法律文件與文學書寫之間的差異化思考過程。全文分成四個部份進行。第一部份凸顯「專屬邏輯」如何運作為遺囑的法律基礎以及其如何得以被鬆動,箇中關鍵便在於揭露法律「字義」規則之中陰魂不散的「文學」。第二部份聚焦於遺囑內容第一項的遺產處理,展開possessions一詞可能帶來的各種迻譯與疑義,以此凸顯法律所有權的可能和語言所有權的不可能。第三部份聚焦於遺囑內容第二項的遺體處理,凸顯單字desolate與假設語句if on land所帶來的不確定性,如何引發「海葬」與「陸葬」的爭議。第四部份則回到「遺囑即書寫」、「書寫即遺囑」的基進解構思考,凸顯「我的死亡」之可能與不可能,遺囑作為書寫文字的符號,如何得以脫離了立遺囑人的主觀意識與意圖,並得以在其身後展現「可重複的閱讀性」。
Le rugby féminin est un sport par équipe dont l’engouement a permis la professionnalisation récente. Dans ce sport, il a été montré que les performances sont dépendantes de la composition corporelle ...chez les joueurs de rugby masculin. Peu d’études ont analysé les joueuses de rugby. Le but de cette étude était de déterminer et comparer la composition corporelle et les variables anthropométriques des joueuses de l’équipe de France à VII et à XV.
La composition corporelle de 53 joueuses de rugby professionnelles issus des équipes nationales Françaises à XV (17 Avants et 12 Arrières) et à VII (10 Avants et 14 Arrières) a été mesurée par DEXA (Dual-Energy X-ray Absorptiometry). Ces données ont été obtenues au début de la saison 2109-2020. Les variables retenues étaient l’âge (années), la taille (cm), le poids (kg), l’indice de masse corporelle (IMC) (kg.m−2), taux de masse grasse (BF%)(%), la Concentration minérale osseuse (BMC)(g), la masse grasse(FM)(kg) et maigre (LM) (Total, Bras, Jambes et Tronc) (kg) et les index de masse grasse (FMI) et maigre (FFMI) (kg.m−2). Les différences anthropométriques ont été identifiées via des tests statistiques non paramétrique de Mann-Whitney.
Les données corporelles des joueuses à VII différent significativement des joueuses à XV. Les athlètes du VII possèdent une masse corporelle (68,0±6,5kg vs 74,8±10,8kg), un IMC (23,3±1,6kg/m2 vs 25,3±2,9kg/m2), un BF% (18,4±3 % vs 23±4,6 %), un BMC (2,8±0,3kg vs 3,1±0,4kg) et une FM totale (11,7±2,7kg vs 16,3±5,3kg) et régionale plus faibles que les joueuses à XV. Le FM Index était également en faveur des joueuses à 7 (p<0,001) (4,0±0. 9kg/m2 vs 5,5±1,7kg/m2). Des différences similaires (p<0,05) ont été retrouvées en comparant les avants des équipes à XV et à VII. En revanche, aucune différence n’a été retrouvée en effectuant ces analyses sur les valeurs totales entre les arrières des deux groupes. En comparant les arrières et les avants de l’équipe de rugby à XV, il a été retrouvé des différences significatives (p<0,05) selon ces mêmes variables mais également une masse maigre totale (54,0±5,0kg vs 46,3±3,8kg ; p<0,001) et régionale plus importante en faveur des avants. De même, le FFM Index était plus important pour les avants (18,9±1,2 vs 17,3±1,0kg/m2). En ce qui concerne l’équipe de rugby à VII, seul l’IMC différait de manière statistiquement significative entre les arrières (22,8±1,50) et les avants (24,1±1,52). Par contre, aucune différence statistique n’a pu être mise en évidence selon les critères totaux étudiés en comparant les joueuses évoluant aux postes d’arrière de l’équipe de France à XV et l’ensemble des joueuses (avants et arrières) de l’équipe de France à VII.
Il s’agit de la première étude rapportant les différences du profil anthropométrique et de la composition corporelle des joueuses des équipes nationales professionnelles de rugby à XV et VII. Les résultats de cette étude confirment que les joueuses à VII sont plus athlétiques que joueuses à XV dans leur ensemble. Cependant, il n’est pas retrouvé de différences significatives si l’on compare les profils anthropométriques des joueuses à VII et les arrières à XV.
Women's rugby is a team sport which raising interest enabled its recent professionalisation. In this sport, it has been shown that performances in male players depended on their body composition. However, only a few studies analysed female players. The aim of this study is to determine and compare body composition as well as anthropometric variables in the players of the French Women's XV's and VII's Team.
Body composition of 53 professional rugby players from the French national women's XV's team (17 forwards and 12 backs) and VII's team (10 forwards and 14 backs) was measured using DEXA (Dual-Energy X-ray Absorptiometry). This data was collected at the start of the 2019–2020 season. The retained variables were age (years), height (cm), weight (kgs), body mass index (BMI) (kg.m−2), body fat percentage (BF %) ( %), bone mineral content (BMC) (g), fat mass (FM)(kg) and lean body mass (LM) (total, arms, legs and trunk) (kg) as well as fat mass index (FMI) and fat free mass index (FFMI)(kg.m−2). The anthropometric differences were identified using Mann Whitney's non-parametric test.
The data collected from the VII's players differed significantly from those of the XVs players. Athletes playing VII's rugby have a lower body mass (68.0±6.5kg vs 74.8±10.8kg), a lower BMI (23.3±1.6kg/m2), a lower body fat percentage, (18.4±3% vs 23±4.6%), a lower bone mineral content (2.8±0.3kg vs 3.1±0.4kg), a lower total (11.7±2.7kg vs 16.3±5.3kg) as well as regional fat mass compared to XVs players. The fat mass index was also in favour of the VII's players (P<0.001) (4.0±0.9kg/m2 vs 5.5±1.7/m2). Similar differences (p<0.05) were found comparing the forward players from the VII's and the XV's team. However, no such difference was observed when analysing the back players data between the two groups. When comparing back players and forward players within the XV's rugby team, similar significant differences were found (P<0.05) regarding those same variables. On top of that, the total fat mass (54.0±5.0kg vs 46.3±3.8kg; P<0.001) as well as the regional fat mass showed to be more important in the players playing at a forward position. The Fat Free Mass Index was also more important for the forward players (18.9±1.2 vs 17.3±1.0kg.m2). On the other hand, when looking at the VII's rugby team, the BMI was the only variable with a statistically significant difference between back (22.8±1.50) and forward players (24.1±1.52). However, no statistical difference was demonstrated in any of the variables when comparing the back players of the XV's team and the VII's team (including both back and forward players).
This is the first study analysing the differences regarding anthropometric profiles and body composition in women's professional rugby players from national XV's and VII's rugby team. The results of the study confirm that VII's players are in fact more athletic than XV's rugby players. However, when comparing anthropometric profiles between VII's players and XV's back players, no significant difference is observed.