Previous studies indicate that the risk for diabetes associated with high consumption of potato differs in various populations. We aimed to investigate the associations between total, boiled and ...fried potato intake and the risk for incident diabetes in Tehranian adults.
This cohort study was conducted in 1,981 adults, aged 19 to 70 years, who participated in the Tehran Lipid and Glucose Study and were followed up for 6 years. Usual dietary potato intakes were assessed using a valid and reliable food-frequency questionnaire. Anthropometric, biochemical and blood pressure data were determined, and diabetes was defined according to the criteria of the American Diabetes Association.
The mean (± SD) age and potato intake of participants was 38.9±13.4 years and 30.2±30.7 g/day, respectively. The risk for incident diabetes in participants was 6.7% after 6 years of follow up. After adjusting for age, sex, body mass index, physical activity, smoking, family history of diabetes, hypertension, serum triglyceride levels, high-density lipoprotein cholesterol levels, energy intakes and consumption of saturated fat, fruit, whole grains, vegetables, nuts and legumes, the risk for incident diabetes was lower in subjects with higher intakes of total potato (OR=0.46; 95% CI 0.25 to 0.84) and boiled potato (OR=0.47; 95% CI 0.26 to 0.85) in comparison with those who had the lowest intakes (p for trend <0.05). However, there was no significant association between fried potato intake and risk for diabetes (OR=0.50; 95% CI 0.25 to 1.07; p for trend >0.05).
Our findings indicate that, in Tehranian adults, a moderate intake of dietary total and boiled, but not fried, potatoes may be associated with a lower risk for incident diabetes.
Des études antérieures indiquent que le risque de diabète associé à une consommation élevée de pomme de terre diffère selon les populations. Nous avons cherché à étudier les associations entre l'ingestion de pommes de terre sous forme bouillie, frite ou totale et le risque d'incidence de diabète chez les adultes téhéranais.
Cette étude de cohorte a été menée chez 1 981 adultes, âgés de 19 à 70 ans, qui ont participé à l'Etude sur les Lipides et le Glucose de Téhéran et ont été suivis pendant 6 ans. Les apports habituels en pommes de terre alimentaires ont été évalués à l'aide d'un questionnaire valide et fiable sur la fréquence alimentaire. Les données anthropométriques, biochimiques et de la pression artérielle ont été établies, et le diabète a été défini selon les critères de l'Association Américaine du Diabète.
L'âge moyen±Ecart Type et la consommation de pommes de terre chez les participants étaient de 38,9±13,4 ans et de 30,2±30,7 g/jour, respectivement. Le risque d'incidence du diabète chez les participants était de 6,7% après 6 ans de suivi. Après ajustement pour l'âge, le sexe, l'indice de masse corporelle, la pratique d'une activité physique, le tabagisme, les antécédents familiaux de diabète, l'hypertension, les taux sériques de triglycérides, les niveaux en cholestérol des lipoprotéines de haute densité, les apports énergétiques et la consommation de graisses saturées, de fruits, de noix et de légumineuses, le risque d'incidence du diabète était plus faible chez les sujets ayant des apports plus élevés en pommes de terre sous la forme totale (Rapport des cotes RC=0,46; Intervalle de Confiance IC à 95% de 0,25 à 0,84) et en pommes de terre sous forme bouillie (RC=0,47; IC à 95%: 0,26 à 0,85) en comparaison avec ceux qui avaient les apports les plus faibles (tendance de p<0,05). Cependant, il n'y avait pas d'association significative entre la consommation de pommes de terre frites et le risque de diabète (RC=0,50, IC à 95% 0,25 à 1,07, tendance de p>0,05).
Nos résultats indiquent que, chez les adultes téhéranais, une consommation modérée de pommes de terre sous forme totale ou bouillie, mais non frite, peut être associée à un risque plus faible d'incidence du diabète.
Sammendrag Er fattige mennesker i liberale kapitalistiske samfunn mindre frie enn rike mennesker? Ifølge mange, både på høyre- og på venstresiden av det politisk-filosofiske spekteret som forsvarer ...en negativ oppfatning av frihet, er svaret på dette spørsmålet «nei». Fattigdom er mangel på midler, og av den grunn innebærer fattigdom mangel på evne, ikke mangel på frihet. I denne artikkelen ser jeg nærmere på G. A. Cohens argumenter mot denne oppfatningen av forholdet mellom penger og frihet.
Justisdepartementet sendte i vår ut en høring vedrørende endringer i lov om fri rettshjelp (rettshjelpsloven). Fri rettshjelps-gruppa på Juss-Buss skrev i denne forbindelse en høringsuttalelse som i ...det følgende vil bli gjort rede for.