Drawing on theories of social interaction, a critical discourse analysis approach is used to examine the resources and constraints on environmental-communication practices in four construction projects in Sweden. The assumption is that talk and action work together to construct, maintain and change organizational structure, social practices, and contractual arrangements. The empirical data were collected through in-depth interviews and field observations where photo documentation was extensively used. The study showed mismatches between information and action, both within the project and between the project and its stakeholders. The mismatches were not caused by a lack of information, but rather by inconsistencies between the communication cultures, the status of the communicator, and the tools used to mediate the information, e.g. the media, discourses and genres used. These discrepancies resulted in a lack of engagement in environmental work in the projects. If environmental and other performances in construction projects are to be improved, more effort needs to be exerted on understanding the dynamics of the social context, human interaction, and the mediating tools used to communicate. This paper suggests an approach that can enhance such an understanding. S'appuyant sur les théories de l'interaction sociale, les auteurs procède à une analyse du discours critique pour examiner les ressources et les contraintes liées aux pratiques en matière d'environnement et de communication dans le cadre de quatre projets de construction en Suède. On suppose que la parole et l'action fonctionnent ensemble pour construire, entretenir et modifier la structure organisationnelle, les pratiques sociales et les dispositions contractuelles. Les données empiriques ont été recueillies au cours d'interviews approfondies et d'observations sur le terrain où la documentation photographique a été largement utilisée. L'étude a montrer des décalages entre l'information et l'action, à la fois dans le cadre de projets et entre projets et parties intéressées. Ces décalages ne sont pas dus à un manque d'information mais plutôt à des incohérences entre cultures de la communication, état du communicateur et les outils utilisés pour médiatiser les informations comme, par exemple, les média, les discours et les genres. Ces différences se sont traduites par un manque d'engagement dans les travaux environnementaux des projets. Si les performances environnementales et d'autres dans le cadre de projets de construction doivent être améliorées, il faut faire davantage d'efforts pour mieux comprendre la dynamique du contexte social, les interactions humaines et les outils de médiatisation utilisés pour communiquer. Cet article suggère une approche qui pourrait améliorer une telle compréhension. Mots clés: communication, projets de construction, engagement, information sur l'environnement, médiateur, contexte social, efficacité du lieu de travail