Heinrich von Ohlendorff became one of Hamburg's richest merchants by trading with Peru-Guano. Together with his wife Elisabeth he founded a family of twelve. In 1880, Elisabeth began to write her ...diary. Until her death she filled 45 obese notebooks with astonishing regularity. The approximately 20,000 pages provide exciting insights into the life of an up-and-coming family that is firmly integrated into the society of Hamburg's upper middle classes. The pages make it possible to portray Heinrich von Ohlendorff in the mirror of his wife's diaries. At the same time, it is possible to draw a fascinating panoramic picture of the "fine" Hamburg society at the beginning of the 20th century. This is the first biography of this merchant from Hamburg who was one of the donors of the Hamburg Scientific Foundation.Translated with www.DeepL.com/Translator
The Eastern crisis of 1875-1878 is amongst the most intensively researched subjects in the history of international relations. And yet one act in this long drama has received suprisingly little ...attention despite having caused a minor sensation at the time. The diplomatic mission of Henry VII Prince Reuss to Constantinople during the Russo-Turkish war of 1877-1878 constitutes a fascinating but largely neglected subplot in the tangled political history of that conflict. Filling this void is therefore overdue. Most of the archival material concerning this important diplomatic episode has been accessible for many decades. And the laborious task of sifting through all of this documentary evidence has proven to be a rewarding one. It has yielded a previously untold story that offers some interesting new insights into the Eastern policy of Otto von Bismarck. Specifically it affords an opportunity to test the validity of Bismarck's famous boast that his ambassadors obeyed his orders 'like soldiers on the parade ground'. The portrait that emerges from the source material is much more nuanced and reveals an era in which family ties and dynastic relationships continued to exert a surprisingly strong influence on the conduct of diplomacy.
This paper aims to assess the effect on Angola of the penetration of its borders by individuals, religious bodies and military forces from neighbouring German South West Africa. It covers the period ...of the creation of the German colony in 1883 and its attempts at self-sufficiency up
to the outbreak of hostilities in 1914. It recounts the ill-starred attempts by Portuguese civil and military authorities to securely occupy the southern region culminating in the successful military occupation of the border area in 1907. It examines the period of the creation and role of
the German Angola Bund and of the Joint Portuguese-German Economic Commission to southern Angola and their impact on Portuguese governorgeneral Norton de Matos and on Portuguese policy. The paper catalogues German military aggression in southern Angola prior to 1914. It recounts the
circumstances leading to the dispatch to Angola by Lisbon of Portuguese troops and of their defeat by inferior German forces and the ensuing chaos leading to the consequent fall in Portuguese prestige in the entire southern Angolan region.
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain ...Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Son arrivée à la tête du Service de chirurgie de l'Hôpital cantonal vaudois dès la fin des années cinquante coïncide avec une ...mutation profonde de la profession. Aux grands maîtres à la César Roux succèdent des chirurgiens plus spécialisés; parallèlement, la bureaucratie hospitalière s'alourdit considérablement, et les relations entre praticiens et politiciens ne sont pas toujours faciles. 00:00:00 – 00:00:12 (Séquence 0) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Frédéric Saegesser et tourné à Lausanne le 23 février 1990. Il évoque la vie de César Roux et le développement de la chirurgie. L'interlocuteur est Bertil Galland. 00:00:12 – 00:01:39 (Séquence 1) : Frédéric Saegesser est invité à retracer l’histoire de la chirurgie en partant du XIXe siècle avec les chirurgiens-barbiers pour arriver à la chirurgie contemporaine. Il place le début de la chirurgie en Angleterre avec John Hunter qui a associé médecine et chirurgie. Il parle d’une anecdote concernant les soins de Louis XIV. Avec le temps, la frontière s’est effacée entre médecine et chirurgie. 00:01:39 – 00:02:43 (Séquence 2) : Frédéric Saegesser parle de la découverte par le docteur hongrois Semmelweiss de l’agent infectieux dont il mentionne les faits dans son livre sur César Roux. Il rappelle que le microbe n’était pas connu, car on ne s’intéressait pas aux germes invisibles à l’œil nu. La médecine s’est développée surtout les 50 dernières années. 00:02:43 – 00:04:09 (Séquence 3) : L’interlocuteur s’étonne de la lenteur du progrès de l’hygiène. Frédéric Saegesser revient sur les découvertes de Pasteur : les microbes, l’antisepsie et l’asepsie. En France, Pasteur a eu peu de succès et a été l’objet de mépris. Dans son livre, Frédéric Saegesser cite les paroles de Delagénière qui a rencontré Pasteur dans le service de Tuffier. Pasteur a été bien accueilli par les Anglais et les Allemands qui ont développé l’asepsie et l’antisepsie avant les Français. Saegesser cite notamment l’exemple des hôpitaux français de la fin du XIXe siècle. 00:04:09 – 00:05:16 (Séquence 4) : L’interlocuteur souligne que Frédéric Saegesser considère qu’il y avait un climat spécifique à chaque pays dans l’histoire du développement de la médecine et de la chirurgie. Il invite Frédéric Saegesser à parler de l’exemple de la France et de Pasteur. Frédéric Saegesser exprime son étonnement et évoque les raisons pour lesquelles les découvertes de Pasteur avaient peu d’audience. 00:05:17 – 00:05:51 (Séquence 5) : Frédéric Saegesser évoque la question des vêtements antiseptiques et parle d’une photographie de Péan en 1892 montrant une opération en frac. Les élèves de Von Bergmann portaient les premières blouses blanches. 00:05:53 – 00:06:52 (Séquence 6) : On invite Frédéric Saegesser à évoquer les progrès de l’antisepsie. Il revient sur les découvertes du hongrois Semmelweiss et de sa découverte sur la corrélation entre la réduction d’infection et le lavage des mains. Céline a écrit une thèse sur cet homme appelé le paria du Danube. 00:06:54 – 00:08:18 (Séquence 7) : Frédéric Saegesser parle des progrès de l’asepsie qui se sont réalisés d’abord en Angleterre, en Allemagne et en Ecosse. Il revient sur l’antisepsie en évoquant Lister qui a soigné les premières fractures ouvertes avec du phénol. Von Bergmann a jeté les premières bases de l’asepsie incluant cette recommandation : port d’une blouse blanche et de gants pour éviter la propagation des microbes. 00:08:21 – 00:09:13 (Séquence 8) : On interroge Frédéric Saegesser sur les opérations à domiciles. Il donne l’exemple du premier chirurgien, McDowell, qui avait réussi la première laparotomie élective à la maison. Il souligne que le risque d’attraper des microbes est plus grand à l’hôpital : l’hospitalisme est un réel problème. 00:09:16 – 00:10:10 (Séquence 9) : Frédéric Saegesser indique que l’anesthésie est apparue en 1846 à Boston, au Massachusetts General Hospital. Le protoxyde d’azote puis l’éther étaient utilisés pour endormir le patient. 00:10:14 – 00:12:19 (Séquence 10) : On invite Frédéric Saegesser à parler du chirurgien vaudois César Roux et de sa place parmi les chirurgiens. Frédéric Saegesser présente une sculpture du portrait de César Roux, énonce les caractéristiques de cet homme et souligne son attachement à sa ville natale, Mont-la-Ville. Il parle des origines de César Roux. 00:12:24 – 00:14:25 (Séquence 11) : Frédéric Saegesser parle de l’attrait de César Roux pour la chirurgie. Il aurait été influencé par le médecin de Cossonay, le Dr Euler, qui se déplaçait à cheval. César Roux a hésité entre plusieurs métiers tels que vétérinaire ou juriste. Il était attaché à la religion protestante. César Roux a développé ses compétences chirurgicales lors de sa formation à Lausanne, où il a suivi des cours de Dufour l’ophtalmologue. Il prenait de bonnes notes ornées de beaux dessins. 00:14:31 – 00:16:29 (Séquence 12) : Frédéric Saegesser raconte que César Roux venait d’une famille modeste et qu'il a préféré étudier à Berne plutôt qu’à Genève. Ce choix, Frédéric Saegesser l’explique par la force et l’attrait scientifiques et artistiques de l’Allemagne de Bismarck. Le pays était une grande puissance contrairement à la France affaiblie. A Berne, il y avait un professeur allemand, qui a été remplacé, à la suite de son départ pour Strasbourg, par le professeur Emil Theodor Kocher. Celui-ci ayant remarqué César Roux lui a proposé un poste. 00:16:35 – 00:17:48 (Séquence 13) : Frédéric Saegesser raconte que le professeur Kocher proposa à César Roux un poste, l’équivalent de chef de clinique. César Roux hésitait à accepter l’offre d’emploi, car il était à la charge de sa famille. César Roux est resté afin de suivre sa formation chez Kocher. Ce dernier a reçu le prix Nobel de chirurgien en 1909. Il est décrit par Frédéric Saegesser comme honnête, sérieux et originaire d’une famille bernoise. 00:17:54 – 00:19:01 (Séquence 14) : Frédéric Saegesser se souvient du chirurgien américain Cushing qui venait de l’Ecole de Baltimore et portait une admiration particulière à César Roux dont il était l’étudiant. Les universitaires américains effectuaient une partie de leur formation médicale en Europe. Aux Etats-Unis, la technique de la narcose était plus développée qu’en Europe et il était possible d’opérer de manière plus méticuleuse qu’en Suisse. 00:19:08 – 00:19:54 (Séquence 15) : Frédéric Saegesser dit que le professeur Decker a raconté que César Roux est devenu à la fin de sa vie plus lent et plus méticuleux. C’est une époque où les narcoses sont encore dangereuses. Dans la clinique privée de César Roux, un médecin-anesthésiste l’aidait. 00:20:01 – 00:20:32 (Séquence 16) : Frédéric Saegesser estime que César Roux a été marqué par l’école allemande. César Roux était, comme Frédéric Saegesser l'a déjà soulevé, élève de Kocher qui venait de l’école allemande et de Vienne. En 1880, Vienne était une grande capitale de l’empire austro-hongrois. Billroth est resté à Vienne avec ses amis musiciens, il y a été enterré. 00:20:40 – 00:21:03 (Séquence 17) : Frédéric Saegesser raconte que la carrière de César Roux s’est déroulée à Lausanne où il s’est installé d’abord comme praticien privé, puis il a été nommé professeur de médecine légale et titulaire de la chaire de chirurgie créée à Lausanne en 1890 dont il fut le premier représentant. 00:21:12 – 00:22:15 (Séquence 18) : On demande à Frédéric Saegesser si c’est grâce à César Roux que de nombreux étudiants étrangers venaient étudier à Lausanne, parmi lesquels figuraient des étudiantes russes. César Roux a épousé Bégoune, une Russe qu’il a rencontrée à Berne. Son beau-frère a travaillé de nombreuses années dans la clinique privée de César Roux. Frédéric Saegesser précise qu’il y avait beaucoup d’étudiants et étudiantes russes à la faculté de médecine. Les femmes étaient admises à l’Université. Cependant dans le canton de Vaud, elles obtenaient difficilement le bachot, le diplôme indispensable pour entrer à l’Université. Il y avait dans les facultés de médecine en Suisse surtout des femmes bulgares, russes et polonaises. 00:22:24 – 00:24:31 (Séquence 19) : On demande à Frédéric Saegesser comment s’est construite la réputation internationale de chirurgien de César Roux. Celui-ci n’aimait pas les voyages, il ne s’est pas rendu aux Etats-Unis qui étaient en plein essor scientifique et économique. Il a obtenu un certain charisme par son travail. Frédéric Saegesser décrit l’homme César Roux. César Roux a fait sa formation en langue allemande et était originaire d’un village vaudois où l’on parlait le patois. Il n’avait pas de facilité pour l’éloquence académique. Son professeur, Kocher, lui a déconseillé de se rendre à Paris pour passer l’agrégation. 00:24:41 – 00:27:18 (Séquence 20) : On demande à Frédéric Saegesser de parler des inventions de César Roux. Frédéric Saegesser revient d’abord sur la question du manque d’éloquence chez César Roux. Il réussissait à retenir l’attention de ses élèves par sa prestance et cela malgré sa petite taille. On revient sur les inventions chirurgicales de César Roux qui ont contribué à sa réputation internationale dans l’histoire de la chirurgie. Parmi les nombreuses inventions, Frédéric Saegesser soulève notamment l’exemple de l’anastomose dite "Roux-en-Y". 00:27:29 – 00:29:05 (Séquence 21) : Frédéric Saegesser explique l’anastomose de Roux-en-Y qui concerne la chirurgie gastrique et les maladies ulcéreuses. L’opération en Y pour les ulcères est tombée en désuétude du temps de Decker. La technique de l’anse en Y est utilisée à nouveau, car c’est un procédé technique et tactique sûr. L’anse de Roux-en-Y est quotidiennement utilisée dans les salles opératoires du monde. Cette technique est parfois attribuée par erreur à Roux de France. 00:29:17 – 00:31:09 (Séquence 22) : Frédéric Saegesser parle d’une autre invention de César Roux : l’oesophagoplastie. Il évoque l’anecdote de fabrication de savon fait maison et
While non-German biographers of Bismarck have usually kept a healthy
distance from
their subject, German biographers have often allowed their political and
religious views to influence
their ...portraits. Most German historians of the ‘long nineteenth century’
were fascinated by, as Hegel
would have called it, the genius of such a ‘world historical individual’.
Their work greatly influenced
the images of Bismarck during the time of the Weimar Republic and the Third
Reich. Their
counterparts in the 1960s and 1970s, however focused critically on the
‘impersonal’ movements of the
Bismarckian empire. These, Marxist influenced, analyses did not include
any biographies. It was only
in the 1980s that three biographers achieved a politically detached evaluation
of the chancellor's
personality. With the centenary of Bismarck's death in 1998, a return
to the pre-1980s views can be
noticed in biographies of the chancellor. They threaten to oversimplify
Bismarck's personality and
government technique again.
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- 1. Berlin: Patriotische Feier auf dem Königsplatz anlässlich des 100. Geburtstages Bismarcks, am 1. April 1915.
2. Der Reichskanzler ...und Fürst Otto von Bismarck. Als Vertreter des Kaisers nahm Prinz Wilhelm von Preußen, der älteste Sohn des Kronprinzen, an der Feier teil.
3. Dem eisernen Kanzler in eiserner Zeit
4. Athen: Straßen-Demonstration bei Bekanntwerden der Besetzung griechischer Inseln in der Nähe der Dardanellen seitens der Alliierten.
5. Kriegsberichte aus dem Westen.
6. Bayerische Schneeschuhtruppen auf dem Vormarsch zur Front. Aufgenommen von Martin Kopp.
7. Überschreiten eines Gebirgsbaches. Aufgenommen von Martin Kopp.
8. Bergung und Abtransport eines Verwundeten durch Schneeschuhtruppen. Aufgenommen von Martin Kopp.
9. Abendstimmung im Kriege. Deutsche Artillerie besetzt eine vom Feinde geräumte französische Stadt. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
10. Artillerieverstärkung an der Front: Offiziere wählen die Stellungen für die Geschütze. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
11. Alarm und Auffahrt der Batterien. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
12. Abprotzen und in Stellung bringen der Geschütze. Anfahren der Munition. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
13. Infanterie geht unter dem Schutz der Artillerie zum Angriff vor. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
14. Kriegsberichte aus dem Osten.
15. Unterstände, die in Brand geschossen wurden.
16. Soldaten beim Löschen der brennenden Unterstände.
17. Ein österreichischer 30,5 cm Mörser in Stellung.- 1. Berlin: Patriotic celebration of Bismarck’s 100th birthday on Königsplatz on April 1st 1915.
2. Imperial Chancellor, Prince Otto von Bismarck. Deputising for the Emperor, the oldest son of the Crown Prince, Prince Wilhelm von Preußen, took part in the celebration.
3. To the iron Chancellor in an “iron time”.
4. Athens: Street demonstrations following news of the allied occupation of the Greek islands near the Dardanelles.
5. War reports from the West.
6. Bavarian snowshoe troops advancing towards the front line. Photographed by Martin Kopp.
7. Crossing a mountain stream. Photographed by Martin Kopp.
8. Rescue and evacuation of a wounded man by snowshoe troops. Photographed by Martin Kopp.
9. War-time evening atmosphere. German artillery occupies a French town that has been cleared of the enemy. Special footage from our correspondent.
10. Artillery reinforcements at the front line: Officers select positions for the cannons. Special footage from our correspondent.
11. Alarm and deployment of the guns. Special footage from our correspondent.
12. Unlimbering and positioning the guns. Bringing in the munitions. Special footage from our correspondent.
13. Infantry advances to attack under artillery protection. Special footage from our correspondent.
14. War reports from the East.
15. Shelters that have been shot to fire.
16. Soldiers extinguishing the burning shelters.
17. A 30.5cm Austrian mortar in position.- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana