While non-German biographers of Bismarck have usually kept a healthy
distance from
their subject, German biographers have often allowed their political and
religious views to influence
their ...portraits. Most German historians of the ‘long nineteenth century’
were fascinated by, as Hegel
would have called it, the genius of such a ‘world historical individual’.
Their work greatly influenced
the images of Bismarck during the time of the Weimar Republic and the Third
Reich. Their
counterparts in the 1960s and 1970s, however focused critically on the
‘impersonal’ movements of the
Bismarckian empire. These, Marxist influenced, analyses did not include
any biographies. It was only
in the 1980s that three biographers achieved a politically detached evaluation
of the chancellor's
personality. With the centenary of Bismarck's death in 1998, a return
to the pre-1980s views can be
noticed in biographies of the chancellor. They threaten to oversimplify
Bismarck's personality and
government technique again.
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- 1. Berlin: Patriotische Feier auf dem Königsplatz anlässlich des 100. Geburtstages Bismarcks, am 1. April 1915.
2. Der Reichskanzler ...und Fürst Otto von Bismarck. Als Vertreter des Kaisers nahm Prinz Wilhelm von Preußen, der älteste Sohn des Kronprinzen, an der Feier teil.
3. Dem eisernen Kanzler in eiserner Zeit
4. Athen: Straßen-Demonstration bei Bekanntwerden der Besetzung griechischer Inseln in der Nähe der Dardanellen seitens der Alliierten.
5. Kriegsberichte aus dem Westen.
6. Bayerische Schneeschuhtruppen auf dem Vormarsch zur Front. Aufgenommen von Martin Kopp.
7. Überschreiten eines Gebirgsbaches. Aufgenommen von Martin Kopp.
8. Bergung und Abtransport eines Verwundeten durch Schneeschuhtruppen. Aufgenommen von Martin Kopp.
9. Abendstimmung im Kriege. Deutsche Artillerie besetzt eine vom Feinde geräumte französische Stadt. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
10. Artillerieverstärkung an der Front: Offiziere wählen die Stellungen für die Geschütze. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
11. Alarm und Auffahrt der Batterien. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
12. Abprotzen und in Stellung bringen der Geschütze. Anfahren der Munition. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
13. Infanterie geht unter dem Schutz der Artillerie zum Angriff vor. Spezialaufnahme unseres Berichterstatters.
14. Kriegsberichte aus dem Osten.
15. Unterstände, die in Brand geschossen wurden.
16. Soldaten beim Löschen der brennenden Unterstände.
17. Ein österreichischer 30,5 cm Mörser in Stellung.- 1. Berlin: Patriotic celebration of Bismarck’s 100th birthday on Königsplatz on April 1st 1915.
2. Imperial Chancellor, Prince Otto von Bismarck. Deputising for the Emperor, the oldest son of the Crown Prince, Prince Wilhelm von Preußen, took part in the celebration.
3. To the iron Chancellor in an “iron time”.
4. Athens: Street demonstrations following news of the allied occupation of the Greek islands near the Dardanelles.
5. War reports from the West.
6. Bavarian snowshoe troops advancing towards the front line. Photographed by Martin Kopp.
7. Crossing a mountain stream. Photographed by Martin Kopp.
8. Rescue and evacuation of a wounded man by snowshoe troops. Photographed by Martin Kopp.
9. War-time evening atmosphere. German artillery occupies a French town that has been cleared of the enemy. Special footage from our correspondent.
10. Artillery reinforcements at the front line: Officers select positions for the cannons. Special footage from our correspondent.
11. Alarm and deployment of the guns. Special footage from our correspondent.
12. Unlimbering and positioning the guns. Bringing in the munitions. Special footage from our correspondent.
13. Infantry advances to attack under artillery protection. Special footage from our correspondent.
14. War reports from the East.
15. Shelters that have been shot to fire.
16. Soldiers extinguishing the burning shelters.
17. A 30.5cm Austrian mortar in position.- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Historien de formation, Jean-Rodolphe de Salis reste un analyste fasciné par l'évolution de la société humaine. Ce professeur à ...l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich, cet historien philosophe, cet écrivain ami de Thomas Mann, de Pierre–-Jean Jouve, de Friedrich Dürrenmatt et de Max Frisch peut se targuer d'être un témoin de son temps. Non content d'avoir assisté aux grands bouleversements de ce siècle, il a largement contribué à les mettre en perspective. 00:00:00 – 00:00:11 (Séquence 0) : Générique de début du Plans-Fixes consacré à Jean Rodolphe de Salis et tourné au Château de Brunegg le 10 juin 1990. L'interlocuteur est Pierre Ducrey. 00:00:11 – 00:01:50 (Séquence 1) : Jean Rodolphe de Salis est un homme de lettres, un historien, un chroniqueur et un professeur. Il est né à Berne et il a suivi l'école dans cette ville. Sa mère était argovienne. Son père venait des Grisons. Le château de Brunegg en Argovie où se déroule l'entretien appartenait à l'origine à la famille de sa mère. Enfant, il venait y passer les vacances d'été et d'automne. Depuis la mort de sa mère, il habite le château du printemps à l'automne. La demeure est devenue son lieu de travail. Au XIIIe siècle, ce lieu était une des fondations habsbourgeoises et faisait partie du comté des Habsbourg jusqu'au moment où les Bernois prirent l'Argovie en 1415. 00:01:51 – 00:03:10 (Séquence 2) : Jean Rodolphe de Salis a grandi à Berne. Son père était médecin. Il avait son cabinet dans la maison qui se situait en vieille ville. A Berne, il y avait une atmosphère conservatrice, fermée. Dans cette ville, il a eu des camarades de classe, des amis et y a vécu pendant la première guerre mondiale. Il a obtenu son diplôme de fin d'études, le bachot, en 1920. Il a ensuite commencé ses études universitaires à Montpellier. Il est retourné régulièrement à Berne voir sa mère et son frère. Il a passé sa vie d'adulte à Zurich. 00:03:11 – 00:04:02 (Séquence 3) : Jean Rodolphe de Salis a étudié d'abord une année à Montpellier, c'était son premier contact avec la France, puis a suivi une année à Berne avant d'aller suivre une année d’études à Berlin. L'atmosphère de cette grande ville était pour lui une sorte de représentation du monde et elle était en opposition à celle du monde fermé de Berne. Jean Rodolphe de Salis a cependant eu dès son enfance des contacts avec le monde international, car des enfants de diplomates étrangers fréquentaient les mêmes classes que lui. 00:04:04 – 00:05:03 (Séquence 4) : La famille de Jean Rodolphe Salis avait des origines européennes : sa mère avait des parentés en France ; la famille de Salis avait une filiation en Allemagne, en Angleterre et en Autriche. Pendant la première guerre mondiale, des membres de la famille ont combattu dans l'un et l'autre camps des belligérants. Sa conscience en a été marquée. 00:05:05 – 00:05:46 (Séquence 5) : En 1920, à 18 ans, Jean Rodolphe de Salis a commencé des études universitaires hors de la Suisse. Il s’est ensuite intéressé aux enseignements dispensés par l'Université de Berne notamment ceux de Gonzague de Reynold. A 20 ans, il est allé à Berlin. 00:05:48 – 00:07:23 (Séquence 6) : A 20 ans, Jean Rodolphe de Salis est arrivé à Berlin. Il a été choqué d'arriver dans cette grande ville. Vers 1922-1923, la ville était politiquement instable. A l'Université, il a suivi des cours de grands maîtres, tels que le philologue Wilamowitz-Moellendorff qui enseignait l'histoire de l'antiquité ou le professeur d'histoire moderne Friedrich Meineck. Ce dernier a beaucoup influencé Jean Rodolphe de Salis. Il lui a suggéré de faire une thèse sur Sismondi, car il travaillait sur l'Italie médiévale et Sismondi était l'historien des républiques médiévales. 00:07:26 – 00:09:29 (Séquence 7) : Jean Rodolphe de Salis est de nationalité suisse, mais il se sent aussi franco-allemand, car ces pays ont eu une influence sur son développement intellectuel, littéraire et scientifique. L'Italie l'a influencé également: il se sentait italien par le biais de son sujet de thèse, par son admiration de l'oeuvre de Jacob Burckhardt, historien de la renaissance italienne, et aussi par ses lointaines origines italiennes. Une partie de sa famille est originaire du Val Bregaglia, une vallée du canton des Grisons. Il a de nombreux ancêtres lombards, vénitiens et grisons. Jean Rodolphe de Salis a de par sa mère des origines argoviennes et aussi alsaciennes. Dès son enfance à Berne, il pratiquait le bilinguisme en parlant français avec la grand-mère. 00:09:32 – 00:10:27 (Séquence 8) : L'interlocuteur demande à Jean Rodolphe de Salis ce que signifie pour lui la communauté économique européenne. Il la considère comme une technocratie et il n’estime pas avoir l'âme d'un technocrate. Il se définit comme un Européen d'autrefois : il se sent chez lui autant à Berlin, à Paris, à Vienne qu'à Londres ou à Rome. Il s'est rendu également dans les pays nordiques, alors qu'il était étudiant, notamment à Oslo en Norvège pour un congrès international d'histoire. Le thème de la conférence était "Sismondi, historien des Républiques italiennes du Moyen Age". 00:10:30 – 00:11:08 (Séquence 9) : Jean Rodolphe de Salis s'est rendu à Paris en 1926 pour y effectuer sa thèse de doctorat. Il a fait sa licence à Berne. Comme Jean-Rodolphe de Salis était bilingue, qu’il avait passé une année à Montpellier et qu’à Berne on parlait beaucoup cette langue, il n'a eu aucune peine à rédiger sa thèse en français. 00:11:12 – 00:12:43 (Séquence 10) : A Paris, Jean Rodolphe de Salis préparait sa thèse. Pour ses recherches, il se rendait à la Bibliothèque nationale de France. Il suivait également des cours à la Sorbonne et au Collège de France. Parallèlement à cette activité scientifique, Jean Rodolphe de Salis est devenu journaliste dès 1928, car il avait besoin de gagner sa vie. Il était correspondant du journal le "Bund" à Berne. Il écrivait des chroniques sur la vie culturelle, notamment sur le théâtre de Louis Jouvet et Jacques Copeau. Comme Jean Rodolphe de Salis était féru de littérature, il s'est intéressé aussi à la vie littéraire de Paris. Il avait fait des études de littérature française chez Gonzague de Reynold. Il entretenait une amitié avec Monique Briod devenue Monique Saint-Hélier, une femme écrivaine qui a eu une influence sur sa formation intellectuelle et littéraire. 00:12:48 – 00:13:39 (Séquence 11) : En 1926 et 1927, Jean Rodolphe de Salis n'était pas un chroniqueur politique, car pendant les deux premières années à Paris, il écrivait des chroniques pour des journaux de Bâle, de Berne et de Zurich sur divers thèmes culturels, comme les concerts. Il a par exemple vu le "Sacre du Printemps" dirigé par Stravinsky. Il a écrit aussi sur le théâtre et a produit des comptes rendus de livre notamment sur Giraudoux ou Jean Cocteau. 00:13:44 – 00:14:44 (Séquence 12) : Jean Rodolphe de Salis est interrogé sur ses chroniques politiques. Quand il était à Berlin, il s'est intéressé à la politique. Il a assisté à une séance au Reichstag avant qu’il ne soit détruit par l'incendie sous la chancellerie d'Hitler. Lorsque Jean Rodolphe de Salis est devenu le correspondant attitré de la presse étrangère en France, il pouvait entrer partout : à la Chambre des députés, au Palais-Bourbon, devenu l'Assemblée nationale, et au Sénat. 00:14:49 – 00:15:30 (Séquence 13) : Jean Rodolphe de Salis a publié ses chroniques de guerre. Ce travail a inspiré en Suisse romande les chroniques en français de René Payot. Ils se sont connus et entretenus sur leur travail. A partir de 1940, Jean Rodolphe de Salis était chargé de tenir une chronique à la radio suisse alémanique sur les événements politiques et militaires mondiaux. Il souligne qu'il a toujours pratiqué les deux langues : à la radio, il parlait en allemand alors que son enseignement à l'Ecole polytechnique fédérale, EPFZ, était en français. 00:15:36 – 00:18:17 (Séquence 14) : Avec ses chroniques radiophoniques hebdomadaires, Jean Rodolphe de Salis s’est lancé dans le domaine de l'information. Il avait organisé une sorte d'information en continu, à côté des cours qu’il donnait à l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich, EPFZ. Après la guerre, il a appris que ses chroniques en allemand étaient écoutées clandestinement par des Allemands, des Alsaciens, des Autrichiens, des Tchèques et aussi des Français. Ses émissions étaient les seules en Europe à ne pas être dominées par Gobbels et le Troisième Reich. À la fin de la guerre, il était considéré comme la voix de la liberté et fut invité en Alsace, à Prague, à Vienne occupée par les quatre nations victorieuses, pour donner des conférences. Il a alors vu l'Europe d'après-guerre et notamment les destructions en Allemagne, car il avait suivi l'armée française, sur invitation du Général de Lattre de Tassigny. 00:18:23 – 00:19:51 (Séquence 15) : L'interlocuteur interroge Jean Rodolphe de Salis sur ses talents de communicateur et chroniqueur et fait référence à une interview de la télévision alémanique qui l'a invité le 3 juin 1990 comme témoin de son temps. Jean Rodolphe de Salis exprime une réserve à répondre à cette question, mais pense que chacun a un certain don. Il pense avoir eu un certain rayonnement. Un chroniqueur doit savoir analyser une situation. Il donne l'exemple d'une de ses expériences de journaliste à Paris où il a dû analyser les crises du gouvernement, fréquentes sous la troisième République. Il a rencontré par exemple les chefs du gouvernement dont Edouard Herriot qu'il a connu personnellement, il a vu le chef de l'opposition Léon Blum et a connu les débuts de Pierre Mendès France en 1932. 00:19:58 – 00:22:07 (Séquence 16) : L'interlocuteur résume la carrière de Jean Rodolphe de Salis avec les deux mots : la curiosité et l'amour de l'être humain. Jean Rodolphe de Salis n'a pas fait de la politique, mais l'a commentée et analysée. Il pense qu'il n'est pas un journaliste, mais davantage un analyste et un commentat
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain ...Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Johanna-Park,Bismarck-Denkmal- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 ...1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain ...Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Bismarck-Denkmal; Foto, auf Pappe geklebt- All metadata published by Europeana are available free of restriction under the Creative ...Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Medaille a. d. Huldigung der Leipziger für Bismarck in Friedrichsruh am 23. Mai 1895- All metadata published by Europeana are ...available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Medaille a. d. Huldigung der Leipziger für Bismarck in Friedrichsruh am 23. Mai 1895- All metadata published by Europeana are ...available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana
Provider: - Institution: - Data provided by Europeana Collections- Medaille a.d. Huldigung der Leipziger für Bismarck in Friedrichsruh am 23. Mai 1895- All metadata published by Europeana are ...available free of restriction under the Creative Commons CC0 1.0 Universal Public Domain Dedication. However, Europeana requests that you actively acknowledge and give attribution to all metadata sources including Europeana