La 5 august are loc în Palatul Mare al Kremlinului din Moscova, în prezența lui Nikita Sergheevici Hrușciov, a secretarului general al ONU, U Thant, Andrei Gromîko, Dean Rusk și lordul Home, semnarea ...tratatului referitor la interzicerea armelor nucleare
La Stockholm are loc Congresul Mondial al Păcii, sesiune jubiliară marcând 10 ani de la crearea acestui organism. Scurtă imagine cu Mihai Ralea, președinte al Comitetului Național Român pentru ...Apărarea Păcii. În sală se disting Dolores Ibarruri, din parte
This study of American trade policy addresses two puzzles associated with the use of aggressive bargaining tactics to open foreign markets. First, as the country with greater power and resources, why ...has the United States achieved more success in extracting concessions from some of its trading partners (such as Japan, Canada, and the European Union) than others (such as China and India)? Second, why haven't trade disputes that match democratic and authoritarian states more frequently sparked retaliatory actions than those between democratic pairs? Ka Zeng finds answers to both of these questions in the domestic repercussions of the structure of trade between the United States and its trading partners. When the United States has a competitive trade relationship with its trading partner (i.e., when the two parties produce a similar range of commodities), both export-seeking and import-competing interests in the United States will likely support trade sanctions. In contrast, when trade is complementary (i.e., when the two countries produce a different set of commodities), threat tactics will likely suffer from the divergent policy preferences held by export-seeking and import-using interests. Coupled with the greater convergence of executive and legislative preferences in the former cases, domestic unity ought both to enhance the credibility and effectiveness of American threats and produce stronger pressure for brinkmanship and higher risks of trade retaliation in disputes with America's competitive trading partners. Since many of these nations happen to be democracies, this results in the anomaly of democratic trade war. Trade Threats, Trade Wars draws on the "two-level game" theory as a key analytical device and supports its contentions both through quantitative analyses of dispute settlement under Section 301 of U.S. trade law and through detailed comparisons of U.S. trade negotiations with China, Japan, the European Union, Canada, and Brazil.
À la différence d’autres régions du tiers monde où l’influence de la France a été déterminante et ininterrompue (Moyen-Orient, Maghreb, les anciennes colonies françaises en Afrique centrale ou encore ...d'autres pays de l’Amérique latine), au Venezuela, il n’y a eu de véritable politique étrangère de coopération culturelle qu’à la fin des années 1950. L'avènement du boom pétrolier pendant l'entre deux guerres a fait décliner l'influence française. À la fin de la Seconde guerre, les diplomates français prennent conscience du potentiel énergétique du Venezuela, observant qu’il est possible de remédier la perte de l’influence économique en encourageant une véritable coopération culturelle. Cette coopération culturelle va utiliser les réseaux politiques intégrés par des élites francophiles, lesquelles revendiquent une histoire commune à la France et au Venezuela. L'étude sur la longue durée permet d'observer les permanences de l'histoire politique vénézuélienne, dans lesquelles s'insèrent les éléments qui ont servi à la construction du sentiment national vénézuélien et les influences des idées françaises sur le projet de modernisation de l’État. Notre étude soulève des questions telles que l'émigration, les échanges et les relations commerciales. Nous nous sommes particulièrement intéressés à l’étude des correspondances diplomatiques car la lecture minutieuse de celles-ci permet de soulever, en filigrane, bon nombre d’éléments liés aux représentations et à l’histoire politique des deux pays. De même, elle permet d’approcher ce que les élites considèrent comme identité et affinité culturelle. Nos sources se rapportent donc, pour la plupart aux correspondances diplomatiques conservées aux archives de La Courneuve et au Ministère des Relations Extérieures à Caracas. Nous les avons croisées avec d’autres sources documentaires, visuelles et littéraires ainsi qu’avec un certain nombre d’entretiens réalisés entre la fin de l’année 2010 et le début de 2011. Notre étude s’inspire des travaux de Pierre Renouvin et Jean Baptiste Duroselle en histoire des relations internationales, revisités par Robert Frank en 2011. Nous prenons en considération le poids des images, de la culture officielle et du rayonnement des modèles culturels, dans le but de tenter de mesurer « la puissance » des États (soft power). En ce sens, la valeur que les élites vénézuéliennes donnent au rayonnement culturel et scientifique français, au XIXe et au début du XXe siècle (1870-1935), permet d’expliquer en partie pourquoi la France a réussi à renforcer sa présence au Venezuela. En effet, le déclin de l'influence culturelle française, à une époque où les relations entre les deux pays s’étaient considérablement distendues (1936-1960), est concomitant à la perte de son influence économique et commerciale. Cette évolution a donné lieu à l'institutionnalisation progressive de la stratégie de la diplomatie culturelle (1961 à nos jours). Grâce à cette stratégie la France a récupérée le terrain qu'elle avait perdu devant la concurrence commerciale anglo-saxonne. Nous avons souhaité répondre à deux questions fondamentales : dans quelle mesure les élites vénézuéliennes, « influencées » par le modèle culturel français, ont réussi à opérer des appropriations/assimilations/adaptations de ce modèle au Venezuela ? Et, en contrepartie, dans quelle mesure la construction d’un « outil culturel » franco-vénézuélien a servi les intérêts de la politique étrangère française au Venezuela ?
Unlike other regions of the Third World, where the influence of France was decisive and uninterrupted (Middle East, Maghreb, former French colonies in Central Africa and other countries of Latin America), in Venezuela, there was only a real foreign cultural cooperation policy by the late 1950s. The advent of the oil boom during the interwar period caused the declining of French influence. By the end of the Second World War, French diplomats were aware of Venezuela’s energetic potential, remarking that it was possible to overcome the loss of economic influence by encouraging a genuine cultural cooperation.This cultural cooperation would use political networks joined by Francophile elites, who claimed a common history between France and Venezuela. The study on the long run allows observing the permanence of the Venezuelan political history, in which fits the elements used in the construction of the Venezuelan National sentiment and the influence of French ideas on the project of State modernization.Our study raises issues such as migration, trades and commercial relations. We are particularly interested in the study of diplomatic relationships, since a close up over these can highlight, watermark, many points related to their representations and the political history of both countries. Similarly, it allows approaching what the elite considered identity and cultural affinity. Our sources therefore relate mostly to diplomatic correspondence preserved in the files of La Courneuve and the Ministry of Foreign Affairs in Caracas. We cross checked with other documentaries, visual and literary sources as well as a certain number of interviews conducted by the end of 2010 and the beginning of 2011. Our study is based on the papers related to the history of international relations by Pierre Renouvin and Jean Baptiste Duroselle, revisited by Robert Frank in 2011. We take into consideration the contribution of images, official culture and the influence of cultural patterns, as an attempt to measure the "power" of States (soft power). On this matter, the value that the Venezuelan elites gave to the French cultural and scientific influence, in the XIX century and the beginning of XX (1870-1935), helps to explain to an extend the reason why France has managed to strengthen its presence in Venezuela. Indeed, the decline of the French cultural influence, at a time when relations between the two countries were considerably distended (1936-1960), is concomitant with the loss of its economic and commercial influence. This has resulted in the progressive institutionalization of the culturaldiplomacy strategy (from 1961 up to the present). Thanks to this strategy France has recovered part of the market share lost to the Anglo-Saxon competition.We wanted to answer two fundamental questions: To what extent the Venezuelan elites, "influenced" by the French cultural model, managed to operate appropriations / assimilation / adaptation of this model in Venezuela? And, in return, to what extent the construction of a "cultural tool" Franco-Venezuelan has served the interests of the French foreign policy in Venezuela?
Le Conseil de l'Europe, institution créée en 1949, rassemble 47 pays et ne dépend pas de l'Union européenne. Sa vocation politique a été dynamisée par la désagrégation de l'Europe communiste. Il ...promeut des Ecoles politiques ou Ecoles de la démocratie qui suscitent des cycles de rencontre et de formation de jeunes acteurs politiques et animateurs de la société civile dans les seize pays, des Balkans au Caucase. (Des articles en français et en anglais).
Depuis la signature des « Traités inégaux » au début du XIXe siècle qui consacrent l'établissement de relations officielles avec la Chine, la France s'est implantée progressivement dans quatre postes ...à concession et une vingtaine de consulats, majoritairement situés dans les provinces méridionales limitrophes de l’Indochine. De 1918 au début des années 1950, cette position se dégrade progressivement pour aboutir à la fermeture officielle du dernier poste français à Pékin par Léon Jankélévitch en 1955. Entre ces deux dates, les Français en Chine sont confrontés successivement aux troubles engendrés par les seigneurs de la guerre dans les années 1920, au conflit sino-japonais qui s'ouvre en 1951 et s'intensifie en 1957 pour aboutir à l'invasion de la Chine, à l’avènement du Parti communiste chinois et son opposition avec le gouvernement nationaliste soutenu par les puissances occidentales. La Seconde Guerre mondiale, venant se combiner avec ce tourbillon de luttes intestines, amène avec elle l’établissement d’une représentation parallèle de la France Libre à Chongqing opposée à celle de Vichy. Qu’ils soient Français libres ou représentants de Vichy, les diplomates mais aussi les militaires ont pour mission de défendre les intérêts de la métropole en Chine, tant économiques que culturels, et surtout la souveraineté française en Indochine. Après la défaite du Japon et la victoire de Mao Zedong, alors que débute la guerre de Corée et que s’intensifie la lutte contre la France en Indochine, ces objectifs restent plus que jamais d’actualité. Tâche pratiquement impossible que tous les acteurs français vont malgré tout assumer en dépit de la perspective de leur échec inéluctable. C’est toute cette évolution que se propose de décrire cet ouvrage, avec, en toile de fond, les événements qui se produisent sur le sol indochinois totalement connexes de la situation en Chine. Sont en même temps évoqués le rôle et la vie quotidienne des diplomates et consuls français dans leurs différents postes, les modifications apportées à leur statut et l’évolution des intérêts français en fonction des circonstances. Cette étude est le complément du Dictionnaire biographique des diplomates et consuls en Chine 1918-1953, publié par les Presses universitaires de Rennes en juillet 2015. Avec deux ouvrages identiques pour la période 1840-1912 publiés aux Indes Savantes, ils offrent une reconstitution d’ensemble de la présence française en Chine du milieu du XIXe siècle jusqu’au début des années 1950.
Les ambassadeurs, en tant qu'acteurs des contacts diplomatiques entre Orient islamique, Occident latin et Orient chrétien de la seconde partie du Moyen Âge, sont au cœur du présent ouvrage. Celui-ci ...réunit diverses contributions de chercheurs et historiens travaillant sur l'histoire de la diplomatie médiévale. Il constitue la version écrite d'une journée d'études organisée en juin 2012 dans le cadre des Journées Scientifiques de l'université de Nantes. Cette rencontre internationale fut le fruit d'un partenariat entre plusieurs institutions (CRHIA, université de Nantes, École pratique des hautes études, université de Liège et CNRS, UMR 8167 « Orient et Méditerranée ») prenant part à l'une des thématiques du programme « La Paix : concepts, pratiques et systèmes politiques » de l'IFAO (Institut Français d'Archéologie Orientale - Le Caire). Dans les articles regroupés ici, les auteurs répondent à des questions communes, quoique chacun sur ses propres terrains d'enquête. Qu'est-ce qu'un ambassadeur entre les espaces et civilisations considérés et pour la période prise en compte ? Cette notion, au risque de l'anachronisme, est-elle réellement compatible avec les fonctions de porte-parole et de représentation officielle qu'assument ces hommes ? De quelle manière la terminologie des multiples sources en langues diverses (latin, grec, arabe, arménien, vieux slavon, etc.) dont l'historien dispose désigne-t-elle ces intermédiaires entre États, princes ou entités politiques souveraines ? Quelles spécificités caractérisent ces ambassadeurs circulant sur de grandes distances entre civilisations voisines, mais souvent rivales ? Autant d'interrogations légitimes auxquelles les contributions donnent des éléments de réponse, apportant de nouvelles pistes de réflexions et permettant des comparaisons suggestives, sans volonté d'exhaustivité toutefois. Le lecteur pourra ainsi appréhender l'activité de certains de ces envoyés officiels sur des espaces aussi divers que les rives de l'océan Indien, les principaux centres politiques et économiques du monde méditerranéen médiéval (Constantinople, Le Caire, Pise, Venise…), les principautés roumaines et arméniennes, ou encore suivre les routes des envoyés pontificaux vers l'Orient du XIIIe siècle.
La Colombie, la Bolivie et le Pérou exportent année après année des quantités croissantes de cocaïne sur le marché français en pleine expansion depuis la fin des années 90. Face à des réseaux de ...mieux en mieux structurés et profitant pleinement du processus de mondialisation des échanges, l'ensemble du dispositif français de lutte contre le trafic international de cocaïne s'est adapté, notamment en orientant ses structures répressives vers plus de coopération bilatérale et, depuis peu, multilatérale.